#ChabbatChalom
En cas d’oubli
Si on ne se souvient plus avoir récité les bénédictions de la Torah, on ne les redit pas. On essaiera d’écouter les bénédictions de la Torah d’une autre personne pour s’en acquitter.
Après avoir fait la tefila de Cha’harit, si on a oublié de réciter les bénédictions de la Torah, on ne pourra plus les réciter car on s’en acquitte dans cette tefila en disant dans les bénédictions du chéma le passage « Ahavat ‘Olam« (où l’on demande à Hachem de nous aider à comprendre sa Torah afin de l’étudier et de l’enseigner). Dans ce cas, il faudra étudier juste après la téfila.
Lorsque l’on récite sa téfila du matin et qu’on s’aperçoit qu’on a oublié les bénédictions de la Torah. Si on se trouve:
- avant « Baroukh chéamar », on pourra les réciter entre 2 paragraphes de la tefila.
- après « Baroukh chéamar », on pourra les réciter juste après Yichtaba’h (car on ne doit pas s’interrompre entre Baroukh chéamar et Yichtaba’h).
- Si on s’en aperçoit après avoir commencé les bénédictions du Chéma, alors on ne pourra plus les réciter car on s’en acquittera comme vu ci-dessus.
Si on est appelé à monter à la Torah avant d’avoir dit les bénédictions de la Torah du matin, il ne sera pas nécessaire de les réciter à nouveau, puisqu’on s’en est acquitté au moment de la lecture dans la Torah.
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Lois de Rekhilout Chapitre 5
3/ S’il voit chez son prochain des signes indiquant que celui-ci a l’intention de lui nuire, il a le droit de s’enquérir auprès d’autres si ses soupçons sont fondés.
4/ Même lorsqu’il est permis d’entendre de la rekhilout, il peut seulement se méfier et prendre ses précautions pour ne pas subir de tort, mais il n’a pas le droit d’y croire entièrement. Il n’a pas non plus le droit de nuire à la personne en question ni même de refuser de lui rendre un service qu’il y a lieu de rendre à n’importe quel Juif.
Halakhot pour Chabbat à imprimer ou à étudier Motsé Chabbat
5/ Il doit veiller à ne pas s’enquérir de ce qu’untel a dit sur lui etc. car il cause ainsi aux gens de dire de la rekhilout et lui-même transgresse aussi cet interdit ainsi que, généralement, de nombreux autres.
Il a le droit de s’enquérir et de prendre ses précautions pour se protéger d’une personne seulement lorsqu’il est sûr que ce sera constructif. Toutefois, il ne devra pas accorder entièrement crédit à ce qu’il aura entendu.