À l’époque de Mordékhaï et d’Esther, les juifs se sont rassemblés le 13 Adar pour se défendre contre l’agresseur. Avant le combat, ils jeûnèrent pour implorer la miséricorde divine, c’est la raison du jeûne d’Esther qui aura lieu cette année, le 11 Adar (le jeûne a été avancé car il tombait un Chabbat).
C’est pour cela que nous avons la tradition dans toutes les communautés de jeûner ce jour-là chaque année, en souvenir du Miracle, ce jeûne se nomme «Jeûne d’Esther». Toute personne en bonne santé ne doit pas se séparer de la communauté et doit jeûner cette année, le jeudi 21 février 2013, 11 Adar 5773.
Références : Guémara Méguila, Choul’han Arou’kh Siman 686, Saïf 2, Méhilta à la fin de la Paracha de Béchalah, Rambam (Rabbi Moché Bar Maïmon) chapitre 5 Halakha 5 des lois de jeûnes, Rav Ovadia Yossef dans H’azon Ovadia Halakhot Pourim page 37.
Une personne ayant un voyage à faire, ou un travail physique à réaliser, sera tenue de jeûner.
Références : Rabbi Avraham Gombiner z.t.l dans Maguen Abraham Siman 686 Saïf Katan 4, Rabbi Israël Méïr HaCohen dans Michna Béroura Siman 686 Saïf Katan 6 Séfer Ki Ba Moëd, page 16.
SONT DISPENSES DU JEÛNE D’ESTHER :
a) Les enfants qui n’ont pas atteint l’âge de la Bar Mitsva ou de la Bat Mitva (12 ans et 1 jour pour une fille et 13 ans et 1 jour pour un garçon),
b) La femme enceinte à partir de 40 jours de grossesse qui ressent des malaises ou des vomissements.
Références : Rabbi Moché Isserlas dans le Choul’han Aroukh Siman 686 Saïf 2 et dans le Siman 550 Saïf 1,Rav Ovadia Yossef dans Yéhavé Daât volume 1 Siman 35, H’azon Ovadia Halakhot Pourim page 37, Rabbi Israël Méïr HaCohen dans Michna Béroura Siman 686 Saïf Katan 4 au nom du Éliyahou Rabba, Yéchouôt Yaâkov Ot 2, Yalkout Yossef Halakhot Pourim Siman 686 Halakha 4, Moëd Lékhol Haï Siman 9 Ot 14, Responsa Knesset Hakhmé Israël Siman 71, Rabbi Moché Feinstein dans Iguérot Moché Ora’h Haïm volume 4 Siman 114.
c) La femme enceinte à partir de 3 mois de grossesse même si elle ne ressent pas des malaises ou des vomissements.
Références : Yéchouôt Yaâkov Ot 2, Yalkout Yossef Halakhot Pourim Siman 686 Halakha 4.
d) Il est recommandé que les femmes en bonne santé jeûnent, mais sont dispensées : les femmes qui allaitent dans les 24 mois qui suivent leur accouchement, même si elles n’allaitent plus de façon effective et alternent avec du lait synthétique (sauf si elles se sentent bien), les femmes qui se sentent encore faibles, mangeront pour leur santé et celle de l’enfant et non pas par plaisir (elle ne consommeront pas de mets d’agrément comme des glaces, des gâteaux, etc.).
Références : Rabbi Moché Isserlas dans le Choul’han Aroukh Siman 686 Saïf 2 et dans le Siman 550 Saïf 1,Rav Ovadia Yossef dans Yéhavé Daât volume 1 Siman 35, H’azon Ovadia Halakhot Pourim page 37et 38, Rabbi Israël Méïr HaCohen dans Michna Béroura Siman 686 Saïf Katan 4 au nom du Éliyahou Rabba, Yéchouôt Yaâkov Ot 2, Yalkout Yossef Halakhot Pourim Siman 686 Halakha 4, Moëd Lékhol Haï Siman 9 Ot 14, Responsa Knesset Hakhmé Israël Siman 71, Rabbi Moché Feinstein dans Iguérot Moché Ora’h Haïm volume 4 Siman 114, Ki Ba Moëd Halakhot Pourim page 14.
e) Une femme qui a fait une fausse couche et qui se sent faible est abstenue jusqu’à 24 mois.
Références : Echel Avraham de Voutchatch Siman 550, Yalkout Yossef Halakhot Pourim Siman 686 Halakha 5.
f) Une femme qui vient d’accoucher, même en bonne santé, est abstenue de jeûner pendant les 3 mois qui suivent l’accouchement, et si elle se sent encore faible après les 3 mois, elle sera abstenue de jeûner.
Références : Rabbi Yossef Karo dans le Choul’han Aroukh Siman 686 Saïf Katan 4, Baït H’adach au même siman, Rabbi Israël Méïr HaCohen dans Michna Béroura Siman 686 Saïf Katan 4, responsa du rabbi Meïr de Rothenburg siman 15, Ki Ba Moëd Halakhot Pourim page 15.
g) Une femme qui a subi une fausse couche, même en bonne santé, est abstenue de jeûner pendant les 3 mois qui suivent la fausse couche, et si elle se sent encore faible après les 3 mois elle sera abstenue de jeûner.
Références : Echel Abraham de Voutchatch siman 550, Rav Ovadia Yossef dans H’azon Ovadia Halakhot Pourim page 38.
h) Un malade, même sans danger. Il mangera cependant avec discrétion et uniquement ce qui est nécessaire pour sa santé et non pas des mets d’agrément.
Références : Rabbi moche Isserlas dans le Choul’han Aroukh Siman 686 Saïf 2, Rabbi Haïm Palaggi dans le Rouah Haïm Siman 550, Rav Ovadia Yossef dans H’azon Ovadia Halakhot Pourim page 39.
i) Si un docteur pense que le jeûne pourrait détériorer l’état de santé d’une personne, celle-ci n’aura pas à jeûner ni à rembourser le jeûne par un autre jour.
Références : Kaf Hahaïm Siman 686 Ot 22, Ki Ba Moëd Halakhot Pourim page 16.
i’) Si le jeûne engendre une erreur de diagnostique à un médecin, celui ci sera abstenu de jeûner et n’aura pas à rembourser le jeûne par un autre jour.
Références : Rabbi Yossef Karo z.t.l. dans Choul’han Aroukh Siman 685, 2, Kaf Hahaïm 22 et 33, Michna Béroura, Saïf Katan 5 et 11, Rama Rabbi Moché Isserlas dans le Choul’han ‘Aroukh’ chap.549, Kaf Hahaïm 8 et 18, Kol Sinaï, Rabbi Gabriel Tsiner dans Natté Gabriel page 173, Ki Ba Moëd Halakhot Pourim page 15.
j) Une personne âgée et faible.
Références : Rabbi Haïm Palaggi dans le Rouah Haïm Siman 550, Yalkout Yossef Halakhot Pourim Siman 686 Halakha 6. Ki Ba Moëd Halakhot Pourim page 16, Rav Ovadia Yossef dans H’azon Ovadia Halakhot Pourim page 39.
k) Pour les Séfaradim, des jeunes mariés dans la semaine de leur mariage ne doivent pas jeûner.
Références : Responsa Yabiâ Omer, volume 5, Siman 40, Ot 8, Responsa Yéhavé Daât, Volume 2, Siman 78, H’azon Ovadia, Halakhot Pourim, page 42. Responsa Beth David, Or Hahaïm, Siman 476 et 347, Erekh Hachoul’han Siman 686, Saïf Katan 4, Chaâré Téchouva, Ot 1, Ben Ich Haï, Parachat Choftim, Saïf 17, Vééchiv Moché, Or Hahaïm, Siman 35, Responsa Choèl Vénichal de Rabbi Kalfon Hacohen, Volume 3, Siman 5.
l) Le père, le jour de la circoncision de son fils, le Mohel et le porteur du bébé (Sandak), ne jeûneront pas non plus.
Références : Responsa Yabiâ Omer, volume 5, Siman 40, Ot 8, Responsa Yéhavé Daât, Volume 2, Siman 78, H’azon Ovadia, Halakhot Pourim, page 42. Responsa Beth David, Or Hahaïm, Siman 476 et 347, Erekh Hachoul’han Siman 686, Saïf Katan 4, Chaâré Téchouva, Ot 1, Ben Ich Haï, Parachat Choftim, Saïf 17, Vééchiv Moché, Or Hahaïm, Siman 35, Responsa Choèl Vénichal de Rabbi Kalfon Hacohen, Volume 3, Siman 5.
m) Un Pidion Haben : les parents de l’enfant et le Cohen ne jeûneront pas.
Références : Rabbi Israël Méïr HaCohen dans Michna Béroura Siman 686 Saïf Katan 7, Responsa Yabiâ Omer, volume 5, Siman 40, Ot 8, Responsa Yéhavé Daât, Volume 2, Siman 78, H’azon Ovadia, Halakhot Pourim, page 42.
n) Pour les Ashkenazim, les jeunes mariés dans la semaine de leur mariage, le père, le jour de la circoncision de son fils, le Mohel et le porteur du bébé (Sandak), les parents de l’enfant et le Cohen le jour du Pidion Haben, pourront manger après Minha (après Hatsot, l’après midi).
Références : Rabbi Moché Isserlas dans la Choul’han Aroukh, Siman 686, Chaâré Tsion, Ot 16.
o) Le H’atan ou la Kala lors de leur 2ème mariage ne jeûneront pas dans les 3 jours à partir de la Houpa.
Références : Responsa Maâyan Omer volume 3 page 392, Ki Ba Moëd Halakhot Pourim page 16.
p) A priori, on ne se lavera pas la bouche et on ne se brossera pas les dents, sauf si l’on ne supporte pas cette situation, auquel cas, on fera attention à ne pas avaler d’eau.
Références : Michna Béroura 11, Kaf Hahaïm 14, Kol Sinaï 9. Responsa. Minhat Yitshak V, 109).
q) Il est licite de fumer, si on ne peut se passer de la cigarette, mais il est interdit de mâcher du chewing-gum.
Références : Kol Sinaï 12, Responsa Yaskil Avdi VIII, 20. Responsa Yéhavé Daât V, 39.
r) Afin de pouvoir manger au petit matin, il est souhaitable d’en poser expressément la condition avant de dormir : « Si je me lève avant le lever du soleil, je mangerai », car sinon, le sommeil est considéré comme début du jeûne.
Références : Rabbi Yossef Karo z.t.l. dans le Choulhan Aroukh Siman et Rama dans Choul’han Aroukh Siman 664, 1.
SONT DISPENSES DU JEÛNE D’ESTHER :
a) Les enfants qui n’ont pas atteint l’âge de la Bar Mitsva ou de la Bat Mitva (12 ans et 1 jour pour une fille et 13 ans et 1 jour pour un garçon),
b) La femme enceinte à partir de 40 jours de grossesse qui ressent des malaises ou des vomissements.
Références : Rabbi Moché Isserlas dans le Choul’han Aroukh Siman 686 Saïf 2 et dans le Siman 550 Saïf 1,Rav Ovadia Yossef dans Yéhavé Daât volume 1 Siman 35, H’azon Ovadia Halakhot Pourim page 37, Rabbi Israël Méïr HaCohen dans Michna Béroura Siman 686 Saïf Katan 4 au nom du Éliyahou Rabba, Yéchouôt Yaâkov Ot 2, Yalkout Yossef Halakhot Pourim Siman 686 Halakha 4, Moëd Lékhol Haï Siman 9 Ot 14, Responsa Knesset Hakhmé Israël Siman 71, Rabbi Moché Feinstein dans Iguérot Moché Ora’h Haïm volume 4 Siman 114.
c) La femme enceinte à partir de 3 mois de grossesse même si elle ne ressent pas des malaises ou des vomissements.
Références : Yéchouôt Yaâkov Ot 2, Yalkout Yossef Halakhot Pourim Siman 686 Halakha 4.
d) Il est recommandé que les femmes en bonne santé jeûnent, mais sont dispensées : les femmes qui allaitent dans les 24 mois qui suivent leur accouchement, même si elles n’allaitent plus de façon effective et alternent avec du lait synthétique (sauf si elles se sentent bien), les femmes qui se sentent encore faibles, mangeront pour leur santé et celle de l’enfant et non pas par plaisir (elle ne consommeront pas de mets d’agrément comme des glaces, des gâteaux, etc.).
Références : Rabbi Moché Isserlas dans le Choul’han Aroukh Siman 686 Saïf 2 et dans le Siman 550 Saïf 1,Rav Ovadia Yossef dans Yéhavé Daât volume 1 Siman 35, H’azon Ovadia Halakhot Pourim page 37et 38, Rabbi Israël Méïr HaCohen dans Michna Béroura Siman 686 Saïf Katan 4 au nom du Éliyahou Rabba, Yéchouôt Yaâkov Ot 2, Yalkout Yossef Halakhot Pourim Siman 686 Halakha 4, Moëd Lékhol Haï Siman 9 Ot 14, Responsa Knesset Hakhmé Israël Siman 71, Rabbi Moché Feinstein dans Iguérot Moché Ora’h Haïm volume 4 Siman 114, Ki Ba Moëd Halakhot Pourim page 14.
e) Une femme qui a fait une fausse couche et qui se sent faible est abstenue jusqu’à 24 mois.
Références : Echel Avraham de Voutchatch Siman 550, Yalkout Yossef Halakhot Pourim Siman 686 Halakha 5.
f) Une femme qui vient d’accoucher, même en bonne santé, est abstenue de jeûner pendant les 3 mois qui suivent l’accouchement, et si elle se sent encore faible après les 3 mois, elle sera abstenue de jeûner.
Références : Rabbi Yossef Karo dans le Choul’han Aroukh Siman 686 Saïf Katan 4, Baït H’adach au même siman, Rabbi Israël Méïr HaCohen dans Michna Béroura Siman 686 Saïf Katan 4, responsa du rabbi Meïr de Rothenburg siman 15, Ki Ba Moëd Halakhot Pourim page 15.
g) Une femme qui a subi une fausse couche, même en bonne santé, est abstenue de jeûner pendant les 3 mois qui suivent la fausse couche, et si elle se sent encore faible après les 3 mois elle sera abstenue de jeûner.
Références : Echel Abraham de Voutchatch siman 550, Rav Ovadia Yossef dans H’azon Ovadia Halakhot Pourim page 38.
h) Un malade, même sans danger. Il mangera cependant avec discrétion et uniquement ce qui est nécessaire pour sa santé et non pas des mets d’agrément.
Références : Rabbi moche Isserlas dans le Choul’han Aroukh Siman 686 Saïf 2, Rabbi Haïm Palaggi dans le Rouah Haïm Siman 550, Rav Ovadia Yossef dans H’azon Ovadia Halakhot Pourim page 39.
i) Si un docteur pense que le jeûne pourrait détériorer l’état de santé d’une personne, celle-ci n’aura pas à jeûner ni à rembourser le jeûne par un autre jour.
Références : Kaf Hahaïm Siman 686 Ot 22, Ki Ba Moëd Halakhot Pourim page 16.
i’) Si le jeûne engendre une erreur de diagnostique à un médecin, celui ci sera abstenu de jeûner et n’aura pas à rembourser le jeûne par un autre jour.
Références : Rabbi Yossef Karo z.t.l. dans Choul’han Aroukh Siman 685, 2, Kaf Hahaïm 22 et 33, Michna Béroura, Saïf Katan 5 et 11, Rama Rabbi Moché Isserlas dans le Choul’han ‘Aroukh’ chap.549, Kaf Hahaïm 8 et 18, Kol Sinaï, Rabbi Gabriel Tsiner dans Natté Gabriel page 173, Ki Ba Moëd Halakhot Pourim page 15.
j) Une personne âgée et faible.
Références : Rabbi Haïm Palaggi dans le Rouah Haïm Siman 550, Yalkout Yossef Halakhot Pourim Siman 686 Halakha 6. Ki Ba Moëd Halakhot Pourim page 16, Rav Ovadia Yossef dans H’azon Ovadia Halakhot Pourim page 39.
k) Pour les Séfaradim, des jeunes mariés dans la semaine de leur mariage ne doivent pas jeûner.
Références : Responsa Yabiâ Omer, volume 5, Siman 40, Ot 8, Responsa Yéhavé Daât, Volume 2, Siman 78, H’azon Ovadia, Halakhot Pourim, page 42. Responsa Beth David, Or Hahaïm, Siman 476 et 347, Erekh Hachoul’han Siman 686, Saïf Katan 4, Chaâré Téchouva, Ot 1, Ben Ich Haï, Parachat Choftim, Saïf 17, Vééchiv Moché, Or Hahaïm, Siman 35, Responsa Choèl Vénichal de Rabbi Kalfon Hacohen, Volume 3, Siman 5.
l) Le père, le jour de la circoncision de son fils, le Mohel et le porteur du bébé (Sandak), ne jeûneront pas non plus.
Références : Responsa Yabiâ Omer, volume 5, Siman 40, Ot 8, Responsa Yéhavé Daât, Volume 2, Siman 78, H’azon Ovadia, Halakhot Pourim, page 42. Responsa Beth David, Or Hahaïm, Siman 476 et 347, Erekh Hachoul’han Siman 686, Saïf Katan 4, Chaâré Téchouva, Ot 1, Ben Ich Haï, Parachat Choftim, Saïf 17, Vééchiv Moché, Or Hahaïm, Siman 35, Responsa Choèl Vénichal de Rabbi Kalfon Hacohen, Volume 3, Siman 5.
m) Un Pidion Haben : les parents de l’enfant et le Cohen ne jeûneront pas.
Références : Rabbi Israël Méïr HaCohen dans Michna Béroura Siman 686 Saïf Katan 7, Responsa Yabiâ Omer, volume 5, Siman 40, Ot 8, Responsa Yéhavé Daât, Volume 2, Siman 78, H’azon Ovadia, Halakhot Pourim, page 42.
n) Pour les Ashkenazim, les jeunes mariés dans la semaine de leur mariage, le père, le jour de la circoncision de son fils, le Mohel et le porteur du bébé (Sandak), les parents de l’enfant et le Cohen le jour du Pidion Haben, pourront manger après Minha (après Hatsot, l’après midi).
Références : Rabbi Moché Isserlas dans la Choul’han Aroukh, Siman 686, Chaâré Tsion, Ot 16.
o) Le H’atan ou la Kala lors de leur 2ème mariage ne jeûneront pas dans les 3 jours à partir de la Houpa.
Références : Responsa Maâyan Omer volume 3 page 392, Ki Ba Moëd Halakhot Pourim page 16.
p) A priori, on ne se lavera pas la bouche et on ne se brossera pas les dents, sauf si l’on ne supporte pas cette situation, auquel cas, on fera attention à ne pas avaler d’eau.
Références : Michna Béroura 11, Kaf Hahaïm 14, Kol Sinaï 9. Responsa. Minhat Yitshak V, 109).
q) Il est licite de fumer, si on ne peut se passer de la cigarette, mais il est interdit de mâcher du chewing-gum.
Références : Kol Sinaï 12, Responsa Yaskil Avdi VIII, 20. Responsa Yéhavé Daât V, 39.
r) Afin de pouvoir manger au petit matin, il est souhaitable d’en poser expressément la condition avant de dormir : « Si je me lève avant le lever du soleil, je mangerai », car sinon, le sommeil est considéré comme début du jeûne.
Références : Rabbi Yossef Karo z.t.l. dans le Choulhan Aroukh Siman et Rama dans Choul’han Aroukh Siman 664, 1.
Rav Chlomo Atlan