Israël n’est plus un pays « merdique »: les Européens courtisent maintenant le high-tech israélien. Et comme le dit Elder of Ziyon qui relaye l’article, la tête des boycotteurs va exploser… de rage !
Times of Israel : Pendant des années, les Israéliens se livraient à un petit jeu sur l’Europe « Nous aiment-ils’ Ne nous aiment-ils pas' » – ils passaient au peigne fin les déclarations des gouvernements et des fonctionnaires, soupesaient mots et expressions, dans une tentative de comprendre ce qu’ils pensent « vraiment » de nous. Tout ça appartient au passé: aujourd’hui c’est l’Europe qui est à la recherche les affections d’Israël et en particulier ses prouesses high-tech. Quel chemin parcouru depuis 2001, lorsque l’ambassadeur français au Royaume-Uni Daniel Bernard a utilisé un juron pour décrire Israël (‘that shitty little country Israel’).
Rien que le mois dernier une demi douzaine d’événements furent sponsorisés par des gouvernements européens en Israël destinés à encourager des sociétés dans l’Internet, le bio-médical, l’agri-tech et dans d’autres domaines du hi-tech à engager des partenariats avec leurs propres pays. C’est le cas du Portugal [Portuguese, Israeli officials promote hi-tech trade] et de la France.
Pendant le récent festival de l’innovation DLD (Digital Life Design) qui a eu lieu à Tel Aviv, l’Italie a pour la première fois sponsorisé un événement promouvant le partenariat. Des start-ups italiennes furent présentées au motif que Rome estime qu’elles pourrait collaborer avec des start-ups israéliennes. Le Royaume-Uni a, depuis plus d’un an, mis sur pied un programme original pour attirer des partenaires tech israéliens. La semaine dernière Matthew Gold, l’ambassadeur du Royaume-Uni, a donné une réception pour des entrepreneurs israéliens. Ceux-ci ont pu s’entretenir avec leurs homologues britanniques qui étaient en Israël pour le festival DLD.
Mario Monti signe un accord de coopération avec le premier Ministre israélien (25/10/2012)
Un évènement eut lieu cette semaine destiné à encourager les affaires entre des sociétés israéliennes et européennes. Il s’agit de la dixième édition de la conférence annuelle Go4Europe, sponsorisée par firme d’investissements Cukierman and Co. Des hauts fonctionnaires, des sociétés et des représentants de toute l’Europe ont participé à la conférence pour encourager des société israéliennes à collaborer, faire des affaires et ouvrir des bureaux et des laboratoires de R&D dans leurs pays. Et alors que la technologie n’était pas le seul sujet, la haute technologie a joué un rôle majeur, et beaucoup de participants ont discuté de partenariats high-tech, et une douzaine de start-up de haute technologie ont donné des présentations devant des centaines de participants.
Le Dr. Werner Schnappauf, un associé de Graf von Westphalen, un des plus importants cabinets d’avocats allemands, a bien résumé l’état d’esprit qui a présidé à la conférence. Israël et l’UE, et tout particulièrement Israël et l’Allemagne, devraient renforcer leur collaboration, a-t-il déclaré, car c’est dans l’intérêt de tous. « La question qu’il faut se poser est si dans l’économie mondiale dans l’avenir, il devrait y avoir un monde G-2 (en référence à deux puissances hégémoniques) – les Etats-Unis et la Chine – ou un monde G-3, mené par les Etats-Unis, la Chine et l’association Europe/Israël, » expliqua-t-il.
Il semble qu’il y a une compétition pour s’attirer l’affection d’Israël – et il y a, selon Xavier Buck, PDG d’EuroDNS (Luxembourg), qui gère le nom des domaines Internet en Europe. « Les anciennes industries en Europe ne sont pas performantes, et les pays de l’Union européenne tentent désespérément de trouver autre chose pour les remplacer,? a confié Xavier Buck à The Times of Israel pendant le Go4Europe. « Les gouvernements savent ce qu’Israël a réalisé et ils veulent qu’Israël les aide à devenir également une puissance high-tech. Ils se battent, mais pas physiquement, en utilisant leurs talents de marketing et la politique gouvernementale pour se rendre attractifs aux yeux de leurs partenaires israéliens. »
Il semble qu’il y a une compétition pour s’attirer l’affection d’Israël – et il y a, selon Xavier Buck, PDG d’EuroDNS(Luxembourg), qui gère le nom des domaines Internet en Europe. « Les anciennes industries en Europe ne sont pas performantes, et les pays de l’Union européenne tentent désespérément de trouver autre chose pour les remplacer,” a confié Xavier Buck à The Times of Israel pendant le Go4Europe. « Les gouvernements savent ce qu’Israël a réalisé et ils veulent qu’Israël les aide à devenir également une puissance high-tech. Ils se battent, mais pas physiquement, en utilisant leurs talents de marketing et la politique gouvernementale pour se rendre attractifs aux yeux de leurs partenaires israéliens. »