« Noah » : première photo de Russell Crowe !
Russell Crowe et Liam Neeson dans « Noah » d’Aronofsky
Russell Crowe joue le rôle principal de « Noah », le prochain film de Darren Aronofsky, inspiré d’une bande dessinée signée par le réalisateur. Liam Neeson est également au casting
Non, ce n’est toujours pas le biopic d’un certain tennisman, mais bien le film le plus ambitieux (et onéreux) de son réalisateur, avec Russell Crowe en bâtisseur d’arche.
Le tournage de Noah, qui se déroule actuellement entre l’Islande et New York, voit Darren Aronofsky diriger pour la première fois Russell Crowe, entouré de Jennifer Connelly, Anthony Hopkins, Ray Winstone et Emma Watson.
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The world is funny de Shemi Zarhin, le film dont tout le monde parle
Ce film est l’antithèse du traditionnel film Israélien ayant pour toile de fond l’armée et/ou la vie branchée de Tel Aviv. The world is funny (HaOlam Matzhik) de Shemi Zarhin se déroule à Tibériade, une ville de taille moyenne dans le nord du pays, et a pour personnages une série d’individus normaux en apparence mais reliés par un passé douloureux.
La magie de The world is funny réside dans l’humour avec lequel réalisateur Shemi Zarhin a réussit à peindre le quotidien pas tout à fait ordinaire de ses personnages.
Toute l’histoire tourne autour de Yardena, Meron et Golan, des frères et sœurs abandonnés par leur parents et qui tentent maintenant de construire leur vie malgré les drames de leurs vie, Yardena a perdu sa fille à l’armée, Meron a un enfant dans le coma depuis 10 ans qui se réveille soudainement et l’amoureuse de Golan est à l’hôpital en phase terminale.
Et pourtant, malgré toutes ces drame, le film est délicieusement drôle agrémenté d’une multitudes de petites histoires et de personnages secondaire haut en couleurs comme cet ancien commandant qui insiste pour que tout le monde le salut dans la rue. La fin du film arrive même un peu trop tôt, on aurais adoré passer un peu plus de temps en compagnie de cette joyeuse communauté un peu excentrique de Tibériade, cela donnerais presque envie d’aller y vivre.
Le film est actuellement en salle au cinéma Lev de Tel Aviv avec des sous-titre en anglais.
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Premier clap de « GRAND CENTRAL » pour Rebecca Zoltowski
Après BELLE EPINE, Rebecca Zlotowski retrouvera Léa Seydoux pour ce long métrage situé dans le monde du nucléaire, où naît une histoire d’amour compliquée sur fond de sports extrêmes. Tahar Rahim, Olivier Gourmet, Johan Libéreau et Denis Ménochet complèteront le générique.
Le tournage s’étalera sur huit semaines, entre l’Autriche et la France. Aucune date de sortie n’est encore prévue.
GRAND CENTRAL marquera le deuxième passage derrière la caméra pour Rebecca Zlotowski, après BELLE EPINE, sorti en 2010.
Remarqué lors de la Semaine de la critique en mai dernier au Festival de Cannes, le long métrage a reçu en janvier 2011 le Prix Louis-Delluc du meilleur premier film.
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Baron Cohen. Sacha Baron Cohen…
Après avoir malmené les rappeurs bas de plafond (Ali G), les Kazakhs (Borat), les gays (Brüno), les dictateurs (The Dictator), mais surtout le puritain public américain, le trublion Sacha Baron Cohen vient de vendre une nouvelle pantalonnade.
L’acteur-producteur-scénariste s’apprêterait en effet à titiller le mythe de James Bond et autres espions glamours dans une comédie parodique mettant en scène un agent secret forcé de se cacher chez son débile de frère hooligan. Cohen, qui a co-écrit le scénario avec Phil Johnston (Bienvenue à Cedar Rapids), incarnerait le frangin en question.
Sacha Baron Cohen ne sera évidemment pas le premier à égratigner le mythe 007. On se rappelle ainsi, avec plus ou moins de plaisir, de Leslie Nielsen dans Agent Zéro Zéro, Rowan Atkinson dans Johnny English ou Eric et Ramzy dans Double Zéro, sans compter les ersatz du genre Oss 117, Austin Powers et autres Max La Menace. Mais espérons tout de même que Cohens’en sortira avec les honneurs.
En attendant, on pourra (re)découvrir les talents dramatiques de Sacha Baron Cohen dans Les Misérables de Tom Hooper(Le Discours D’Un Roi) ou (peut-être !) dans le biopic de Freddie Mercury par Stephen Frears.
