La P… respectueuse, pièce de J.P Sartre, traite de la force de la pression sociale. Les protagonistes abdiquent leur liberté devant la norme imposée par la société. Manipulés, ils soumettent leur libre arbitre à une force supérieure, à la manière de Lizzie, qui ne distingue plus clairement son devoir moral de la contrainte sociale. Sartre nous dépeint une société où une minorité impose ses volontés à une majorité. La classe décisionnaire minoritaire agit au nom d’un prétendu bien commun et emmène dans son sillon une majorité, davantage attachée à sa survie qu’à la compréhension des actes qu’on lui impose.
Le Premier ministre français, Michel Barnier, a assuré ce mardi que la France (fidèle à son passé de collaboration, avec l’islamisme cette fois) « appliquera ses obligations » en matière de droit international après l’émission par la Cour pénale internationale (CPI) d’un mandat d’arrêt contre le Premier Ministre israélien Benjamin Netanyahou.
Les organisateurs « d’Euronaval 2024 », salon consacré au secteur de défense navale, avaient indiqué que, lors de sa prochaine édition, aucun stand, ni matériels israéliens n’y seraient accueillis, ceci à la demande du gouvernement français (fidèle à son passé de collaboration avec l’islamisme, cette fois).
Ce même gouvernement français (fidèle à son passé de collaboration avec l’islamisme, cette fois) a annoncé qu’il n’y aurait « pas de stand de l’industrie de défense israélienne » lors du salon international de défense et de sécurité terrestres « Eurosatory 2024 ».
Le 14 juin 2024, le tribunal de Bobigny avait d’abord interdit à toute société israélienne, ou affiliée à l’arsenal, de participer au salon, ainsi qu’à toute délégation israélienne, ou intermittente, d’y venir. Mais, quelques jours plus tard, le tribunal de commerce de Paris a finalement ordonné la réintégration des sociétés israéliennes.
Emmanuel Macron (fidèle au passé de collaboration de la France avec l’islamisme, cette fois) a estimé que Benyamin Netanyahou ne devait pas « s’affranchir des décisions de l’ONU », soulignant que c’est par « décision de l’ONU » que l’État d’Israël a été « créé » – une référence à la résolution 181, adoptée en novembre 1947 par l’Assemblée générale des Nations unies.
Le chef du gouvernement israélien lui a répondu par un communiqué, écrivant :
« Un rappel au président de la France : ce n’est pas la résolution de l’ONU qui a établi l’État d’Israël, mais plutôt la victoire obtenue dans la guerre d’Indépendance avec le sang de combattants héroïques, dont beaucoup étaient des survivants de la Shoah – notamment du régime de Vichy en France. »
Une autre déclaration tendancieuse d’Emmanuel Macron :
« Je ne suis pas sûr qu’on défende une civilisation en semant soi-même la barbarie », a déclaré le président (fidèle au passé de collaboration de la France, avec l’islamisme, cette fois), sous-entendant que l’État hébreu alimente l’escalade des tensions au Moyen-Orient.
Je qualifie « d’idiots utiles » les libéraux occidentaux toujours désireux de dissocier l’islam traditionnel du terrorisme islamique !
Je rappelle que les terroristes musulmans tirent leur légitimité des mêmes textes canoniques que les musulmans traditionnels !
J’estime que criminaliser toute critique de l’islam en la qualifiant de racisme ou « d’islamophobie » ( crime punissable en France) revient à faire taire toute critique de cette idéologie violente. Elle qualifie le terme « islamophobie » de « ruse sémantique » destinée à faire de la violence islamique une aberration, et non une idéologie fondamentale de la religion elle-même.
Les salafistes qui choisissent de porter certains vêtements, de vivre d’une certaine manière, s’inspirent de l’islam primitif et des coutumes du Prophète, le nec plus ultra des musulmans. Ces deux principes sont contraires à la paix et à la vie dans une société civilisée.
Il suffit de regarder la carte du monde pour se rendre compte qu’aucune nation à majorité musulmane ne fait partie du monde libre.
C’est un monde où la suprématie d’Allah est incontestée !
C’est un monde où l’adoption est interdite parce que le Prophète a choisi d’épouser la femme de son fils adoptif !
C’est un monde où les pratiques non islamiques (comme les relations sexuelles avant le mariage, la consommation d’alcool, le changement de religion, le mauvais code vestimentaire, etc.) sont sévèrement punies, parfois par la peine de mort !!! Signifiant soumission en arabe, l’islam est imposé par la terreur.
Ce n’est pas un acte de libre choix, comme de nombreux apologistes du monde musulman ne cessent de le répéter. Tout musulman, adhèrent à ses principes, est un « réserviste du djihad ».
Pourquoi, à l’instar de la gauche fourvoyée et désœuvrée, les gouvernements occidentaux respecteraient-ils une religion prétendant que son prophète, né propre, circoncis, avec des yeux ombragés de khôl, a les prouesses sexuelles de trente hommes et peut satisfaire ses onze épouses en succession rapide en une heure ?
Pourquoi défendrait-elle une religion qui sexualise et cache la majeure partie du corps de la femme ?
Pourquoi serait-elle d’accord avec les soi-disant imams (chefs religieux) qui ne remettent jamais en question leurs textes canoniques ?
Pourquoi soutiendrait-elle une religion qui reconnaît les seuls droits de la majorité (le pouvoir de la foule) piétinant ainsi les droits des minorités, puisque l’islam n’a aucune idée de démocratie ?
Les politiques, et les gauchistes, occidentaux ne s’attaquent pas à ces questions (en partie parce qu’ils ont fait de l’islam une race). Ils sont devenus plus que des « idiots utiles ». Je les qualifie en fait de complices et de collaborateurs qui, par leur pensée confuse, poussent le monde et ses habitants vers plus de violence. les En tant qu’êtres humains, les musulmans doivent être respectés.
En tant qu’idéologie, l’islam doit être contesté et retiré de la politique, si le monde veut être épargné par davantage de terreur.
Je ne suis pas le seul à accuser les progressistes et les libéraux occidentaux !
Dans son récent livre, « Le Mépris civilisé », le psychologue et écrivain suisse israélien Carlo Strenger estime que la gauche européenne n’a pas su défendre les valeurs des Lumières, lancées par des hommes comme Spinoza au 17e siècle. Avec l’échec des idéologies communistes et maoïstes au 20e siècle, nombre de ces gauchistes ont préféré l’autoflagellation à la critique, trouvant refuge dans la politique identitaire ou le politiquement correct. Ils ont choisi une forme de tolérance, très éloignée de l’esprit des Lumières, avec son insistance sur la méthode scientifique et le rejet des faits faux ou non prouvés.
Et, tout comme l’islamophobie a fait obstacle à toute critique authentique de l’islam, l’accusation d’eurocentrisme n’est pas moins handicapante pour les penseurs libéraux.
Ces derniers ont du mal à affirmer que, malgré ses innombrables défauts, la civilisation occidentale est la plus avancée de l’Histoire du monde.
Ils ont du mal à affirmer que les États libres du monde d’aujourd’hui sont pour la plupart des États occidentaux.
Ils ont du mal à affirmer que les récits religieux abrahamiques, comme l’ordre de sacrifier Yits’hak, son fiIs, (ou Ishmaël dans l’Islam) pour l’amour de Dieu, sont tout simplement trop offensants pour être pris au sérieux.
Pour Strenger, le politiquement correct consiste à dévaloriser l’éducation, à encourager le ressentiment, à protéger les étudiants du sentiment d’échec et permettre à la majorité de la population mondiale de se sentir à l’aise en adhérant à des opinions religieuses, sans aucun sens à notre époque.
Cela ne fait que retarder le jour du jugement, celui où les civilisations s’affronteront (comme l’avait prédit, avec prescience, Samuel Huntington), et non celui où la démocratie libérale triomphera (comme l’avait conclu à tort Francis Fukuyama) !
Légère contrariété dont je dois vous entretenir succinctement :
L’oligarchie juive et la « Juiverie » traditionnelle de France et de Navarre se retrouvent, par la force des choses, à collaborer avec un régime et une situation sociale méprisable et incriminable.
Leurs dîners luxurieux, leurs manifestations autosatisfaites, ni même leur solidarité, ne peuvent m’émouvoir !
La fraternité se mesure dans un combat côte à côte, main dans la main, face aux épreuves de la Nation d’Israël, sinon, elle m’est étrangère !
Est donc venu le moment de faire un choix, en cette veille de conflit mondial, de haute intensité :
Traverser la mer et rejoindre Israël (Londres d’hier)
Ou ….
Rester « collabo » malgré soi, car ni souveraineté, ni indépendance pour l’exilé et son ridicule paraître religieux ou séculier!
Pris au piège de leur malaise paralysant, les libéraux et progressistes occidentaux ont abandonné la défense des droits de l’homme, de la liberté d’expression et de l’égalité des sexes, dans les communautés à majorité musulmane, aux mouvements conservateurs de droite, portant un nouveau coup à leur cause.
La seule façon de sortir de cette impasse morale est d’adopter ce que Strenger appelle une attitude de « mépris civilisé » envers tout ce qui porte atteinte aux valeurs des Lumières, quelle que soit leur origine.
Strenger a raison : l’héritage des Lumières est vraiment la seule chose qui se dresse entre un avenir civilisé et un monde de terreur et de souffrances sans fin.
Tout libéral ou progressiste qui ne comprend pas cela se trompe dangereusement….
Rony Akrich pour Ashdodcafe.com
A 68 ans, il enseigne l’historiosophie biblique. Il est l’auteur de 7 ouvrages en français sur la pensée hébraïque. « Les présents de l’imparfait » tome 1 et 2 sont ses 2 derniers ouvrages. Un premier livre en hébreu pense et analyse l’actualité hebdomadaire: «מבט יהודי, עם עולם» Il écrit nombre de chroniques et aphorismes en hébreu et français publiés sur les medias. Fondateur et directeur de l’Université Populaire Gratuite de Jérusalem (Café Daat) . Participe à plusieurs forums israéliens de réflexions et d’enseignements de droite comme de gauche. Réside depuis aout 2023 à Ashdod après 37 ans à Kiriat Arba – Hevron.
Ashdodcafe.com
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