La rue de Palestine est une voie située dans le 19e arrondissement de Paris, en France.
Elle est globalement orientée nord-sud. Elle débute au sud sur la rue de Belleville et se termine au nord sur la rue des Solitaires. La rue Fessart débouche sur son côté ouest, à peu près en son milieu.
La rue porte le nom de Palestine en raison du voisinage de l’église Saint-Jean-Baptiste de Belleville. L’église Saint-Jean-Baptiste fut achevée en 1859. Elle est consacrée à Jean le Baptiste, saint patron de l’église et de la paroisse qui prêchait en Palestine sous empire Ottoman. Jean baptiste connaissait la Bible et savait que le Juif qu’il vénère venait de Judée.
La rue de Palestine est classée dans la voirie parisienne par un décret du 23 mai 1863 et prend sa dénomination actuelle par un arrêté du 3 septembre 1869. A l’époque, il n’y avait aucune mosquée à Paris et il n’existait pas non plus de peuple palestinien (inventé dans les années 1960 par le KGB). 25 ans plus tard en Décembre 1894 éclatait l’affaire Dreyfus-
Quelques années avant le 12 mars 1854, la France fait alliance avec la Turquie et le 25 mars, elles déclarent la guerre à la Russie. C’est alors l’expédition dite de Crimée. Pour remercier la France l’empire ottoman lui offre plusieurs »sites Juifs » en terre d’Israel dont le domaine du tombeau des rois, des rois Juifs pas chrétiens et encore moins palestiniens puiqu’il en existe aucun. Mandaté par le Consistoire de France pour traiter de ce sujet sensible auprès des autorités françaises et faire le lien avec Israël, Haïm Berkovits travaille dessus depuis des années. Il a même écrit un roman, inspiré de toutes ses recherches et péripéties: « Le Tombeau des Rois » (Editions Persée). Il nous explique l’histoire de ce lieu, ses mystères et les luttes diplomatiques qui y sont liées.
Le tronçon qui de la rue de Palestine relie la rue des Solitaires est percé en 1874 en même temps que la rue du Jourdain. Toujours à cette époque, la Jordanie n’existait pas non plus, elle a été inventée par les anglais en 1946.
La région de Palestine, qui a été témoin de nombreux conflits à travers l’histoire, est passée sous domination ottomane au 16ème siècle. Ayant gouverné la région de la palestine pendant plus de 400 ans, les Ottomans se sont battus avec acharnement pour conserver les anciennes terres pendant la Première Guerre mondiale, mais les ont finalement perdues au profit des Britanniques. La jordanie actuelle représente 70% de la Palestine britannique. La déclaration Balfour de 1917 prévoyait un foyer national Juif sur toute la palestine Britanique.
Le nom Palestine dérive du mot »peleshet ». Traduit grossièrement pour signifier un envahisseur- le terme a été utilisé pour décrire les habitants de la terre au nord-est de l’Égypte – les Philistins. Les Philistins étaient un peuple égéen – plus étroitement apparenté aux Grecs et sans aucun lien éthnique, linguistique ou historique avec l’Arabie – qui a conquis au 12ème siècle avant notre ère la plaine côtière méditerranéenne qui est maintenant Israël et Gaza.
Au IIe siècle de notre ère, les Romains écrasèrent la révolte de Shimon Bar Kokhba (132 de notre ère), au cours de laquelle Jérusalem et la Judée furent reconquises et la région de Judée est renommée Palaestina dans le but de minimiser l’identité juive avec la terre d’Israël.
Le mot Palestine ou Filastin n’apparaît pas dans le Coran. Le terme peleshet apparaît dans le Tanakh pas moins de 250 fois. Avant que j’oublie, il ne peut y avoir un pays appelé Palestine parce la lettre P n’existe pas dans la langue Arabe.
Mais Il y eu aussi la rue de Jérusalem – La rue de Jérusalem est une ancienne rue de Paris, dans le quartier de la Cité, sur l’île de la Cité. Pour des raisons assez obscures, la rue a disparu en 1883 peut être en raison de l’extension du palais de justice de Paris.
L’ Ancienne Préfecture de police de Paris était située rue de Jérusalem de 1850-1871.
Longue de 58 m, la rue se trouvait à l’extrémité ouest de l’île de la Cité, quartier de la Cité. Elle commençait quai des Orfèvres et rue Saint-Louis (incorporée au quai des Orfèvres en 1807) et finissait rue de Nazareth (rue disparue qui donnait accès à la cour de la Sainte-Chapelle).
Lors de sa visite historique en Israël, il y a 150 ans, le géant littéraire américain Mark Twain a été témoin de ce qu’il ignorait alors : le retour prophétique du peuple juif dans son pays. »Innocents Abroad », le livre de voyage renommé qui a servi de fondement à son succès, dépeignait une terre sainte dont la désolation serait le point de départ d’une prophétie concrétisée.
«Les innocents à l’étranger», 1869 – En juin 1867, Mark Twain entreprit un voyage en Europe et dans la Palestine ottomane, devenue Israël. Peu impressionné, il a décrit la Terre sainte comme «peu pittoresque» et «disgracieuse», voire «désolée». Du 24 au 25 septembre 1867, Twain séjourna à l’hôtel Mediterranée, aujourd’hui appelé la Wittenberg House, dans le «vieux quartier juif» (aujourd’hui le quartier musulman de la vieille ville). À l’époque, les Juifs de la vieille ville venaient juste de devenir une majorité, mais les marges étaient minces.
Depuis lors, la vieille ville, Jérusalem et Israël ont entamé un processus de rédemption dans lequel, outre la terre productrice de fruits, il y a une renaissance de la vie juive, un rassemblement d’exilés et la souveraineté juive sur la terre. En effet, le livre de Twain, publié 30 ans avant le premier Congrès mondial sioniste, a souvent été utilisé pour soutenir l’idée sioniste selon laquelle la Palestine était «une terre sans peuple pour un peuple sans terre».
Une « place de Jérusalem » a été inaugurée, dimanche, dans le 17e arrondissement de Paris. Une décision dénoncée par les alliés marxistes, islamistes, communistes, cgtistes et écologistes de la maire Anne Hidalgo mais aussi par des associations pro-palestiniennes.
Shalom de Jerusalem, Capitale Eternelle d’Israel
« Jean Vercors »