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PARACHAT KI TISSA 5785, VENDREDI 14 MARS 2025
Aujourd’hui, nous fêtons Pourim, joyeux POURIM à tous !

NETANYA – 17h27 – 18h25
JÉRUSALEM – 17h06 – 18h24
HAÏFA – 17h27 – 18h25
EILAT – 17h27 – 18h24
ASHDOD – tel aviv 17h28 – 18h26
BEER SHEVA – 17h28 – 18h25
PARIS – 18h36 – 19h43
MARSEILLE – 18h25 – 19h28
LOS ANGELES – 18h42 – 19h39
MIAMI – 18h11 – 19h04
NEW YORK – 18h44 – 19h44


Le texte commence par l’injonction de dénombrer le peuple au moyen de l’offrande de la part de chaque homme de 20 à 60 ans1 d’un demi-shekel  c’est-à-dire qu’en comptant toutes ces pièces d’un demi-shekel on saura  exactement le nombre de personnes vivant dans le camp et ayant  participé au don.

Pour cela D a employé le verbe élever : לשאת) lasset) qui a d’autres  significations liées l’une à l’autre de manière plus large parfois.

לשאת signifie donc élever mais aussi, porter (un fardeau) et aussi  épouser! Quel est le lien ? Lorsqu’on porte un fardeau, on commence par  l’élever du sol pour le soulever encore et le mettre sur son dos ou sur  l’épaule et quel est le lien entre ceci et épouser ? C’est que lorsqu’on  « prend femme » on décide de prendre sa charge, de la prendre en charge.

Lorsque D demande à Moïse d’élever la tête de chacun des membres du  peuple c’est qu’en comptant chaque pièce on élève chaque homme adulte  au rang de personne, d’être humain et non pas d’esclave mais d’être libre  et l’on retrouve ce caractère humain dans le verbe לשאת car il y a aussi  un sens caché : en inversant les lettres de la racine נשא on obtient le mot

אנשou énosh = humain. Le verbe לשאת est un verbe dont la racine  comporte une lettre défective : le noun et donc lorsque le noun apparaît  la racine est composée d’un noun, sine, et alef.

La plupart des mots issus de cette racine concernent les humains ainsi  le prince se dit נשיא) nassi) et il a une fonction des plus élevées, lorsqu’un  homme consacre une femme pour qu’elle devienne son épouse, le  mariage est נישואין c’est élever la femme à un rôle digne et élevé, et non  pas, pour en faire juste une compagne pour la chair uniquement.

Et ces fonctions n’existent que pour les humains. Le dénombrement pour  des êtres humains ne se fait pas comme on dénombre des objets ou des  animaux mais de manière digne en élevant la tête de chacun dit la Torah.

Dans cette parasha de Ki Tissa se trouve le sujet de la faute du veau d’or.  Fait peu glorieux de notre histoire. En effet, comment un peuple entier a t-il pu se laisser entraîner à faire une chose pareille surtout après avoir  été témoins de toutes ces merveilles, de tous ces prodiges que D a  accomplis par amour pour Son peuple !

Que s’est-il passé ? Moïse est donc monté sur le Mont Sinaï pour prendre  « livraison » de la Torah et des tables de pierre gravées du doigt de D où Il  inscrivit les Dix Paroles. Lorsque Moïse grimpa sur la montagne sur  laquelle il devait séjourner 40 jours et 40 nuits, le peuple décompta les  jours un peu trop tôt ou trop vite et il fallut tout le malin savoir-faire d’êtres  « payés » pour détruire, pour attiser un désespoir naissant en assommant  le peuple de : Moïse n’est pas revenu, il nous a abandonnés qu’allons nous devenir et, avec le concours du Malin, tenter de trouver la solution  de rechange très vite : récupérer l’or et entraîner le peuple vers une  nouvelle voie erronée montrée par ceux qui composaient le « érev rav » רב ערב ou littéralement le grand mélange c’est-à-dire ces gens qui  profitèrent du fait que les portes de l’Egypte s’étaient ouvertes pour  s’enfuir avec les Juifs. Ces personnes qui n’étaient pas toutes converties  mais aussi d’autres Juifs et fauteurs de trouble ont, avec un  empressement et une vitesse inhumaine, collecté, fondu et façonné, une  statue à l’image des idoles égyptiennes au point que quelques heures à  peine après avoir constaté le retard du grand prophète, D enjoignit Moïse  de rejoindre ce peuple à la nuque roide. Quel ne fut pas le  désappointement de Moïse qui, jusqu’alors, n’avait eu de cesse  d’intercéder pour le bien de ce peuple, lorsqu’il constata cette débauche  qui s’affichait au pied de cette montagne rendue sainte par la présence  de D. !

Ce fut à un tel point, qu’en apercevant ce qui se passait en ce lieu, les  lettres gravées par le doigt de D sur la pierre qui avait perdu de son poids  s’envolèrent et les tables ne représentèrent plus un objet sacré sanctifié  par la parole divine et « le doigt/l’écriture d’HaShem », redevinrent à l’état  de pierre brute et se brisèrent. Moïse dut remonter sur le Mont Sinaï pour  reprendre d’autres tables qu’il rapporta au terme de 40 autres jours et  nuits.

Cette faute du veau d’or va être rappelée à chaque fois, tout au long de  l’histoire du peuple juif comme si cette faute devait être quelque chose  qui doit être présent à chaque tournant de la vie tout comme D rappelle à  chaque circonstance pour que cela ne s’oublie point que Lui, dans Sa  majesté a retiré le peuple juif du pays d’Egypte, de la maison d’esclavage  pour que ce peuple puisse être le Peuple de D.

C’est ainsi que lorsque les Hébreux, les fils de Jacob, descendirent en  Egypte pour y vivre 210 ans tout d’abord dans de bonnes conditions, puis  en esclavage, ils descendirent en tant que famille et en sortirent en tant que peuple de D : ‘ה עם = 136 en devenant ‘ה עם il accepte de prendre sur  lui le עול ou joug (du royaume des cieux).

Ce peuple qui fut en exil en Egypte a été libéré. Il est passé de l’exil (גולה) à la libération (גאולה (en passant par ce stade d’être devenu le peuple de  D, en se réunissant autour de D (symbolisé par le alef) et c’est ce qui fait  toute la différence entre gola et guéoula entre l’exil et la délivrance c’est  l’union, et la foi en un D aimant. C’est aussi la fin de cet exil et le début de  cette union sacrée D et Israël qui fait que D décide de fixer l’une de Ses  résidences sur terre pour résider au milieu de Son peuple, dans le  Tabernacle.

Lorsque la Torah précise que chaque homme de vingt à 60 ans doit verser  un demi-shekel au Cohen, c’est pour que le pauvre ou le nanti contribuent  aux frais de fonctionnement et aux sacrifices dans la même mesure, mais  aussi pour servir de rachat personnel chacun procèdera à son propre  rachat. Ce sont des versets qui seront lus en particulier lors du shabbat  shekalim.

Par ailleurs, cette péricope, évoque le problème du veau d’or. Moïse est  sur le Mont Sinaï et reçoit l’enseignement (la Torah) écrit avec les  renseignements ou explications orales (le Talmud) de la bouche de D.

Lorsque des clameurs se font entendre du pied du Mont Sinaï, D enjoint  Moïse de descendre prestement : « Vas voir ce que TON PEUPLE fait en  bas ! » s’exclame l’Eternel ! Pourquoi Seigneur me dis-tu « ton » peuple  alors qu’il s’agit de TON peuple à Toi ! rétorqua Moïse. Rashi nous aide à  comprendre ceci en remarquant la différence se logeant dans le âmekha  et le âmékha qui sont inscrits dans le texte.

En effet, grâce à Rashi, et à d’autres éminents commentateurs nous  savons qu’aux Bené Israël (enfants de Jacob) se sont joints de nombreux  non-Juifs communément appelés « êrev-rav » soit « la multitude » ainsi  que nous l’avons dit plus haut. Cette foule égyptienne et idolâtre qui a  profité du départ des esclaves Hébreux pour s’enfuir d’Egypte est, elle  aussi, arrivée au pied du Sinaï. Or, ces personnes déplacées ont su  profiter de ce qui apparut aux yeux de ces païens comme une défaillance :  Lorsque Moïse entreprit l’ascension du Sinaï, ce « êrev rav » commença  à décompter les jours et les nuits. Ils allèrent trouver Aharon pour  dénoncer « la fraude » il manquait six heures et déjà Moïse était porté  absent !

En réalité, ils s’étaient trompés dans leur décompte mais ils se  languissaient de leurs actes idolâtres et ils n’étaient pas les seuls, des  sorciers égyptiens les accompagnaient qui réclamaient de revenir à leurs  fonctions précédentes dont ils tiraient des avantages matériels notoires.

Et cette impureté à elle seule suffit à les aveugler et à les rendre  impatients.

Aharon, le prêtre, décontenancé ordonna de collecter dans le camp tout  l’or possible pour gagner du temps, persuadé que cette collecte de métal  précieux prendrait tant de temps que Moïse serait déjà de retour et saurait  comment faire face à la crise !

Mais, dans leur impatience, ils coupaient des doigts des mains et des  oreilles pour récupérer plus facilement bagues, bracelets et boucles  d’oreilles ! C’est ainsi qu’ils revinrent bien vite chargés d’or et le  déversèrent dans une cuve.

Sitôt l’or fondu, un veau s’éleva d’entre les flammes. Pourtant, pour faire  une statue il faut du temps et il faut beaucoup d’heures de travail mais, le  Midrash nous enseigne la chose suivante : lors du décès de Joseph, les  enfants de Jacob prêtèrent serment au moment de sortir d’Egypte, les  Hébreux prendraient les ossements de Joseph afin de les enterrer en  Israël et le cercueil de Joseph fut enseveli dans le Nil. Au moment de sortir  d’Egypte, sur un parchemin fut écrite la phrase suivante : Lève-toi bœuf  d’Israël ! Et au même moment le cercueil de Joseph apparut sur les flots  du Nil. L’emblème de la tribu de Joseph était un bœuf. Les sorciers  égyptiens s’étaient emparés du parchemin et le jetèrent dans l’or fondu  c’est alors que surgit ce veau d’or. Et, ce n’est pas tout, en dehors du  grand veau d’or s’élevèrent de cette fonderie 12 autres veaux plus petits qui devaient être entraînés jusqu’au camp de chacune des douze tribus !!!

Un autre midrash rapporte ceci : quelques temps auparavant, avant que  ne s’enclenche le processus de la sortie d’Egypte, se produisit le fait  suivant : l’un des esclaves hébreux n’avait pas fabriqué suffisamment de  mortier aux yeux des égyptiens qui, pour faire pression sur les esclaves,  avaient coutume de prendre l’un des enfants de l’esclave incriminé pour  l’enterrer vivant dans le mortier. Moïse sauva l’enfant de cette mort  certaine en intercédant pour ce pauvre enfant qui s’appelait Mikha et qui,  dès lors, suivait Moïse partout.

Or, à la veille de la sortie d’Egypte, Moïse voulut retrouver la dépouille de  Joseph, pour respecter le serment fait de remporter les ossements de  celui qui fut vice-roi d’Egypte pour l’inhumer en Israël. Sérah indiqua le  lieu précis et Moïse inscrivit sur un parchemin plusieurs noms sacrés et  l’ordre : « taureau monte » (שור עלה(. Moïse ne prit pas garde du fait que  Mikha était présent et ramassa ce parchemin. Or, lorsque sans autre choix  que de jeter l’or rapporté par le «êrev rav » dans le bassin de fonte de  métaux, Mikha jeta le parchemin et, sans doute parce qu’il n’y avait pas  assez d’or, au lieu d’un taureau, un veau est sorti du bassin. Rappelons que le symbole de Joseph était un taureau (voir parashat vayehi  bénédiction de Jacob à ses fils).

Le peuple a-t-il fauté entièrement ? Que s’est-il passé réellement ? Nous  trouvons la réponse dans les versets suivants : Les fautifs ou les fauteurs  de trouble n’étaient en tout et pour tout que 3,000 personnes qui  trouvèrent la mort sous le glaive des Léviim. Les fils de Lévi qui avaient  hérité de leur aïeul cette soif de vengeance et de rétablir la justice  passèrent tout le peuple en revue et tuèrent tous ceux qui avaient fauté.  Lorsque Moïse réduisit le veau en poudre pour le faire boire à tout le  peuple c’est alors que les Hébreux furent frappés de stupeur et  comprirent l’immensité et l’énormité de la faute commise.

Lorsque D enjoignit Moïse de descendre vers le peuple en disant TON  peuple, Moïse rétorqua qu’il s’agissait aussi bien du Peuple sorti d’Egypte  de ces descendants d’Abraham auquel D avait promis qu’ils  deviendraient une grande nation qui serait innombrable et qui serait en  exil et réduite en esclavage. Moïse rappela aussi à D que ces personnes  étaient celles qu’Abraham n’avait pas prises sous son aile alors qu’elles  étaient prêtes à rejoindre notre peuple et, lorsqu’elles sont restées à  l’écart, elles sont demeurées sans valeur de communion ou de  communauté. Reconnaissant ces âmes parmi le « êrev rav », il les  accepta pour leur donner un asile.

Après cet épisode, Moïse grimpa une fois de plus sur le Sinaï pour y tailler  de nouvelles tables de pierre pour que D dicte à Moïse les dix paroles qui  devaient orner ces tables.

Le célèbre musicien français Charles Gounod dans son opéra Faust met  dans la bouche de Méphisto l’affirmation « le veau d’or est toujours  debout ». Bien qu’il s’agisse ici de personnages qui ont peu d’affinités  avec notre sujet, nous pourrions nous poser la question de savoir s’il n’y  a pas lieu de s’interroger sur le phénomène du veau d’or qui se produisit  au lendemain de la sortie d’Egypte.

Effectivement, comment tout un peuple qui a assisté à tous les prodiges  qui ont eu lieu en Egypte pendant toute la durée des dix plaies puis,  ensuite tous ceux qui ont vu se fendre les flots de la mer en douze  couloirs, et qui ont vu les flots se refermer et engloutir l’armée de  Pharaon, comment ont-ils pu accepter de faire un veau d’or ?

Les réponses sont en réalité aussi claires que simples mais, nous devons  les dégager une par une pour mieux cerner le problème.

Voici tout d’abord le contexte : avant de gravir le mont Sinaï où Moïse  devait recevoir les Tables de la Loi, Moïse avertit le peuple en lui signifiant qu’il resterait absent 40 jours et 40 nuits. Ici s’imposent tout  d’abord deux éclaircissements :

PEUPLE : de qui s’agit-il ? Les Sages nous font remarquer que lorsque la  Torah écrit העם il s’agit de l’ensemble du peuple qui est sorti d’Egypte  c’est-à-dire non seulement l’assemblée des Bené Israël (les 600,000  hommes plus les enfants, les femmes et les vieillards) mais aussi, comme  nous l’avons vu plus haut, tous les Egyptiens qui ont vu et compris la  Toute Puissance du D d’Israël et ont décidé d’adhérer à la religion d’Israël

(se convertir à un moment quelconque de cette vie dans le désert ). Lorsque la Torah veut désigner les Bené Israël plus précisément elle  n’emploie que la locution de « âdath bené Israël » c’est-à-dire l’assemblée  des enfants d’Israël. Il y a donc ici une différence lexicographie

40 jours et 40 nuits : Lorsque Moïse prévint les bené Israël qu’il  séjournerait 40 jours et 40 nuits durant sur le Sinaï, ils n’ont pas pris en  ligne de compte qu’il faudrait à Moïse du temps pour gravir la montagne  et en redescendre. Dépourvu de confiance ou de foi en l’Eternel, ceux qui  faisaient partie du êrev rav, se sont trouvés en panique de voir que le soir  tombant il n’y avait pas de nouvelles du grand prophète et ils ont ressenti  le besoin d’avoir quelqu’un à leur tête et ils ont agi de manière impulsive  et désordonnée.

C’est alors que tout s’est enchaîné très vite et que tout s’est passé en  moins de temps qu’il ne faut pour le décrire : ils s’adressèrent à Aharon – qui avait assisté Moïse dans toutes les démarches auprès de Pharaon et  qui occupait donc un poste d’assistant de dirigeant – en le priant de leur  façonner un chef de troupe, dans le sillon duquel ils se retrouveraient  tous.

Ce êrev rav voulut tout de suite consacrer ce veau comme dieu et Aharon  insista pour attendre le lendemain.

On a coutume de dire que le peuple entier fauta pourtant ce ne sont que  3,000 personnes qui moururent à cet épisode et D dans Sa Miséricorde  infinie continua les prodiges quotidiens : faire tomber la manne, les  colonnes de nuées le jour et les colonnes de feu la nuit.

Moïse, en redescendant avec les Tables de la Loi, brisa ces tables de  pierre, soit parce qu’il se retrouva « désarmé » face à ce spectacle, soit  parce que les lettres sacrées s’envolant vers les cieux en retour la pierre  devint d’un poids insupportable même pour un homme comme Moïse qui  avait combattu les bergers (qui avaient attaqué Tsipora et ses sœurs au  bord du puits).

Le Midrash nous enseigne qu’en effet, bien que les tables de pierre étaient  d’un poids considérable, le fait d’avoir gravées en elles les paroles  divines, le poids effectif des tables s’était allégé. Mais, devant le spectacle  affligeant des libations d’idolâtres, les paroles divines se sont envolées  et ce sont des morceaux de pierre véritable que Moïse tenait entre ses  bras. Il les lâcha donc et les brisa.

Plus bas, dans le texte, on assiste à une nouvelle disposition : faire boire  aux pécheurs ou à ceux soupçonnés d’avoir péché un mélange d’eau  et de poudre d’or. A quoi ressemble cette décision ? Rashi éclaircit un  peu notre perplexité en nous enseignant deux points différents et  parallèles en même temps : le premier parallèle tiré est celui de la femme  sota (femme infidèle) et le second de la vache rousse ; les finalités étant  légèrement différentes tout en se retrouvant dans le procédé. Mais, en  dehors de ces deux explications citées ci-dessous, il y en a encore une  autre : celle de rabaisser aux yeux de ce peuple la « valeur » de cette  statue ramenée à l’état de poussière et comestible de surcroît.

Pour la femme infidèle, de manière à vérifier son innocence, si elle le  désire : on lui fait boire un liquide dans lequel on a dissout une inscription  de noms sacrés sur une plaque de métal. Si la culpabilité est prouvée  l’infidèle est condamnée et mourra.

Pour la vache rousse : elle est pure de son vivant, et impure à sa mort.  Elle sera brûlée jusqu’à être réduite en cendres. Tous ceux qui  l’approcheront à sa mort seront rendus impurs, toutefois, les cendres de  la vache mêlées à de l’eau rendront leur pureté à ceux qui l’ont perdue en

étant aspergés par quelques gouttes de cette eau particulière.

En conséquence, le veau d’or est brûlé jusqu‘à ce qu’il n’en reste qu’une  très fine poussière qui, diluée dans de l’eau, sera absorbée par tous  ceux qui désiraient une idole et tous ceux qui ont assisté à cette scène  dans le but de faire ressortir l’innocence de certains et, par voie de  conséquence la culpabilité des autres.

Un autre thème d’importance est évoqué ici : celui de l’encens. Je vous  propose d’en débattre la semaine prochaine très en détail car cette  semaine, la lecture sera déjà abondante….

Dr Caroline Elisheva Rebouh PhD.
ד »ר קרולין אלישבע רבוה בן אבו 

1- Aujourd’hui les Rabbins préconisent, en général que chaque chef de famille donne la valeur d’un  demi shekel pour TOUS les membres de la famille de 0 à 120 ans qu’il s’agisse d’hommes, de femmes,  d’enfants ou de personnes âgées. Il faut consulter pour savoir chaque année à combien s’élève le  demi shekel (ainsi que l’on consulte pour savoir à combien est évaluée la kappara pour Kippour ou les  dons aux pauvres (matanoth la Evionim pour Pourim).

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