Approuvé en deuxième et troisième lectures : les salariés pourront s’absenter jusqu’à 20 jours en raison d’une hospitalisation prolongée d’un nouveau-né.
Étendre l’éligibilité à tous les parents de nouveau-nés hospitalisés.
La commission du travail et de la protection sociale, présidée par le député Israel Eichler, a approuvé en deuxième et troisième lectures un projet de loi important initié par le député Yanon Azoulai et d’autres membres de la Knesset. Selon la proposition, les parents de nouveau-nés nécessitant une hospitalisation prolongée, pour une période supérieure à deux semaines, auront le droit de s’absenter du travail jusqu’à 20 jours.
Initialement, le projet de loi était destiné uniquement aux parents de bébés prématurés, mais à la demande du président de la commission, le député Eichler, et avec la coopération du député Azoulai, l’éligibilité a été élargie pour inclure tout nouveau-né en séjour hospitalier de longue durée.
Souplesse dans le choix des jours d’absence. Une autre innovation du projet de loi est de donner au salarié la possibilité de choisir si les jours d’absence seront déduits des jours de vacances ou des jours de maladie dont il dispose. Ce faisant, la commission s’est écartée de la proposition initiale qui suggérait de déduire automatiquement les jours du quota de jours de vacances uniquement. L’éligibilité est conditionnelle à ce que le salarié soit employé sur le même lieu de travail depuis au moins un an.
Désaccord entre travailleurs et employeurs Moriah Barbie, le représentant de la Fédération des Fabricants, s’est opposé au changement: « Le changement selon lequel les jours seront déduits selon le choix du salarié viole l’équilibre et impose une charge au public des employeurs. » En réponse, le député Yanon Azoulai a déclaré : « Nous avons pris en compte les employeurs et l’avons réduit de 30 à 20 jours. Ils doivent aussi prendre en compte les salariés. N’ont-ils pas des jours de vacances ? »
Équilibre entre les droits des salariés et des employeurs
Le président de la commission, le député Israel Eichler, a commenté l’importance de la loi : « Il s’agit d’un amendement important qui aidera l’employé et toute sa famille à faire face aux besoins de la période difficile de hospitalisation du nouveau-né. Nous avons étendu l’offre à tout nouveau-né hospitalisé pendant plus de deux semaines car elle ne dépassera pas l’idée qu’il y aura une discrimination entre un nouveau-né et un autre. Je crois que la formulation approuvée crée un juste équilibre entre les salariés et les employeurs.
Keif.co.il
Ashdodcafe.com
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