Accueil Alya Réussir son alya en trois étapes : c’est mettre toutes les chances...

Réussir son alya en trois étapes : c’est mettre toutes les chances de son côté pour optimiser son intégration avec DOR HADASH!

0

Pour s’assurer les meilleures chances de réussite en Israël, rien ne vaut une solide préparation en France !

Pour ce faire, l’OSM propose aux futurs olim une conférence Zoom autour de trois thèmes fondamentaux :

  • l’apprentissage de l’hébreu avec les oulpanim de l’OSM,
  • la gestion budgétaire avec Valérie Halfon
  • et l’emploi avec Eva Cohen de Qualita, et Sarah Haziza de l’Agence juive.

Organisée en partenariat avec l’association Dor Hadash, représentée par Patricia Hassoun qui est à l’initiative du programme de préparation, cette rencontre mettra en valeur une destination phare, la ville de Haïfa.

Jeudi 8 juin 2023, à 19h (France)
Inscriptions :https://bit.ly/Alya_Haifa2023


Ce projet de conférence est très important et très louable MAIS il ne suffit pas car ce que les olim ou les candidats à la Aliya doivent faire avant toute chose c est pratiquer la SEPARATION d’avec la France et sa culture.

Tourner les talons, tourner la page sans regarder en arrière.
Ceux qui regardent en arrière et comparent tout et rien sont des candidats à la YERIDA.
Israël est incomparable. ISRAEL c est HASHEM

On vient en Israël comme on entre sous la houppa.…Il n y a pas de plus belle houppa qu’Erets Israël et nous, AM ISRAEL nous sommes la plus belle des Kaloth du monde et nous sommes sous la houppa pour accueillir notre HATAN qui est HASHEM…

Si nous acceptons notre ketouba nous réussirons notre mariage et nous nous multiplierons mais si nous commençons à regarder en arrière que le lait augmente et qu’une vache qui rit est plus chère ici que chez Lidl alors nous aurons bcp de problèmes…

Il faut accepter Israël tel qu’il est parce qu’il est notre fiancé et qu’on l’accepte tel quel parce qu’il n y a pas de comparaison et qu’il n’y a pas de discussion.

Lorsqu’on nous à fait partir de là ou nous étions, on n’a pas eu le loisir de comparer que là bas on achetait un kilo de colin pour le prix de 2 tranches en France… on a coupé les oranges en 4 et on s est serré la ceinture jusqu’à ce que l on se soit adaptés…

Si on rate son aliya ce n est pas parce que le pays est trop dur ou trop cher ou trop je ne sais quoi c est parce que nous n avons pas été dignes de ce pays saint..
Alors les efforts doivent tendre vers l’acceptation sans condition du pays tel qu’il est….

Bonne chance aux candidats à l’alya dans toute sa beauté et ses difficultés !

Caroline Rebouh pour Dor Hadash

Quitter la version mobile