Alors qu’à l’échelle du pays on observe une baisse du nombre de divorces, la ville d’Ashdod enregistre une augmentation de 2% en 2022. En revanche, la ville se classe au quatrième rang du pays en nombre de mariages.
Ashdod se classe au quatrième rang du pays en matière d’enregistrement des mariages en 2022 avec 1 452 couples mariés – selon les données du ministère des Services religieux publiées cette semaine.
D’autre part, la ville enregistre une augmentation de 2% du nombre de divorcés et gagne le statut exclusif de la seule ville qui enregistre une augmentation des divorces la même année.
Au niveau national, il y a eu une diminution de 5,4% du nombre de couples qui ont divorcé en 2022 – selon les données des tribunaux rabbiniques, avec Tel-Aviv en tête avec 2 578 couples qui divorcent contre 2 734 en 2021.
Au total, 10 972 couples ont divorcé en Israël en 2022, contre 11 600 couples en 2021.
La segmentation des données du ministère des Services religieux montre que Tel-Aviv-Yafo est également en tête dans l’enregistrement des mariages et s’élève à 3176 couples qui ont choisi de s’enregistrer au Bureau des mariages du Conseil religieux.
Elle est suivie par Jérusalem avec 2005 couples, le Conseil régional de Sharon Coast avec 1452 couples, Netanya avec 1048 couples et Holon avec 1024 couples.
Yehuda Avidan, PDG du ministère des Services religieux apporte un complément d’information a ces données : « Les bureaux matrimoniaux offrent un enregistrement des mariages rapide, pratique, adapté et accessible et le public lui fait confiance.
Ces données correspondent à la note élevée de l’Autorité des TIC, qui a testé la qualité du service dans les conseils religieux et leur a attribué le score le plus élevé de tous les ministères. »
Le directeur des tribunaux rabbiniques, le rabbin Eli Ben Dahan, a commenté la diminution du nombre de divorces et explique que la raison en est « due à l’épidémie de corona qui montre encore ses signes ».
Selon lui, certaines des affaires qui ont été ouvertes pendant cette période ne sont pas encore terminées, de plus, il est possible que la situation économique ait réduit le nombre de divorces en Israël. »
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