Au cours de son mandat au ministère des Finances, le professeur Yaron Zelika n’a pas eu peur d’affronter les personnes et les entités les plus puissantes de l’économie israélienne, du Premier ministre Ehud Olmert aux plus grands monopoles de l’économie et à leurs propriétaires tels que Nochi Dankner, Eliezer Fishman et les frères Ofer. Pour cette période, il a même reçu le titre de « Chevalier du gouvernement de qualité ».
Le professeur Yaron Zelika n’a pas besoin de 100 jours de grâce au ministère des Finances. Il consacrera ses 100 premiers jours en tant que prochain ministre des Finances de l’État d’Israël à la mise en œuvre de son plan économique qui conduira l’économie israélienne sur la voie de la prospérité et de l’équité envers l’ensemble de la population et non la prospérité économique uniquement pour les secteurs tels que la High Teck.
Le professeur Yaron Zelikha a les connaissances, la capacité et le courage de démanteler le club privilégié des politiciens, des monopoles, des magnats et des groupes de pression et de permettre à la classe moyenne et aux travailleurs indépendants d’atteindre leur plein potentiel.
Zelikha vous explique combien ça n’est pas une fatalité mais une politique économique choisie et imposée par le gouvernement
Libermann a augmenté l’immobilier de 18% en un an et demi, soit de 300000 shekel pour un appartement moyen. Sur cette somme seuls 15000 shekel d’augmentation sont dus à l’augmentation de la matière première.
Il a augmenté les taxes de 10000 sh par foyer afin de combler la dette alors qu’une économie saine l’aurait comblé avec la croissance. Et pour cela il aurait fallu justement baisser les taxes au lieu de les augmenter. Et surtout pas à la veille d’une inflation prévisible.
Libermann n’a pas su anticipé l’inflation et nous en a frappé de plein fouet.
Alors que l’on s’attendait à un changement du nouveau gouvernement, ils ont nommé à l’autorité de la concurrence la meilleure amie des monopoles. La même clic que sous Netanyahu .
Elle n’a pas appliqué les lois qui régulent les prix des monopoles. Elle n’a pas nommé de nouveaux monopoles. Pas nommé les importateurs exclusifs monopoles et n’a pas fait d’appels d’offre.
Les lobbys des monopoles continuent à dicter leurs ordres à nos politiques. Ils pratiquent des taxes très élevées aux importations. Des quotas et normes israéliennes aux importations insupportables de façon à empêcher de faire rentrer la concurrence. Les prix ont dépassé tous les plafonds du supportable en Israël avec Libermann au trésor
Puis voici l’état de l’intérieur du pays sous Netanyahu avant le changement :
COUT DE LA VIE :
Le prix d’un appartement en 2007 était de 80 salaires ;
En 2020, il est de 150 salaires minimum
55% du prix d’un appartement neuf est composé de taxes.
Le salaire moyen en 2019 était de 11 139 sh brut. Mais il ne veut rien dire parce que l’écart entre les plus hauts et les plus bas est de 7,2 fois; aux États-Unis de 5, la moyenne de l’OCDE étant de 3,4.
70% des gens vivent avec moins que 8500 sh net par mois.
C’est le salaire médian, 6500 sh net par mois (2020) qu’il faut prendre en compte
Pour comprendre la réalité. 50% vivent avec moins que ça.
C’est pour cela que la banque d’israël dénonce un taux de crédit à la consommation effrayant.
Les israéliens vivent donc à crédit.
Le PIB par habitant s’est élevé à 41644 $ en 2018. Or le pouvoir d’achat est a 37972 $.
En 2007, le niveau des prix se situait à -2% par rapport à la moyenne de l’OCDE.
En 2017, il est de 20% au-dessus de cette moyenne.
Les prix ont augmenté de 36,4% entre 2007 et 2017.
L’Immobilier sur la même période a augmenté de 130% !!
Les banques :
Taux de crédit : Europe 1% ; Israël 4%
Les frais de banques des plus élevés.
Pas de banque en ligne.
En 1948, plus de 150 banques étaient présentes en Israël, avec de nombreuses banques étrangères.
Aujourd’hui 2 banques, Hapoalim et Leumi possèdent 70 % du marché et seulement 5 acteurs bancaires avec Discount, Mizrahi Tefahot et Banque of Jerusalem trustent la quasi totalité du marché.
Les banques étrangères ne peuvent pas ouvrir des succursales et offrir leurs services.
Idem pour les assurances où seules 3 compagnies d’assurances gèrent la totalité du marché et il n’est pas permis de faire appel à des sociétés étrangères.
PAUVRETÉ:
Israël compte 2,3 millions de pauvres dont 1 million d’enfants sur un peu moins de 9 millions d’habitants.
1/4 des israéliens vit avec moins de 3200 shekel dont 33% des enfants, 25% des seniors
70% des pauvres ont au moins un salaire.
20% des pauvres ont 2 salaires, donc travaillent.
Handicapés, rescapés de la Shoah, personnes âgées touchent moins que ce minimum vital.
50000 rescapés de la Shoah vivent sous le seuil de pauvreté.
L’ aide sociale en Israël (2014) représente 5,4% du PIB ; au Portugal 17,8% ; en France : 20,06.
En tenant compte de l’aide sociale nous sommes le dernier du classement de l’OCDE, après la Turquie avec 18,5% de pauvres, la moyenne de l’OCDE étant de 11,5%.
Le Shekel est maintenu artificiellement fort. Cela pénalise les israéliens qui vivent de revenus étrangers et l’énorme secteur du tourisme . Le Prof. Yaron Zelikha nous explique à quoi c’est du et la solution .
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