Le rapport annuel sur l’état de la nature met en évidence les conséquences négatives de l’urbanisation galopante au milieu de la croissance démographique, mais note une augmentation des espaces ouverts protégés.
Israël perd chaque année des espaces ouverts équivalents à une ville israélienne de taille moyenne, les incendies de forêt augmentent en fréquence, en intensité et en taille, et les deux tiers du pays sont exposés à une pollution lumineuse dans une mesure qui nuit aux écosystèmes et à la biodiversité.
D’autre part, les réserves naturelles s’étendent sur terre et en mer, et il y a plus de couverture végétale dans la moitié Nord plus pluvieuse du pays, grâce aux efforts de conservation.
Ces découvertes et bien d’autres apparaissent dans le rapport annuel, publié jeudi, de HaMaarag (« Le Web » en hébreu), le programme national d’évaluation de l’état de la nature.
HaMaarag est une collaboration du Musée de la nature Steinhardt, du Musée de Tel Aviv, du Ministère de la protection de l’environnement, du Fonds national juif KKL-JNF et de l’Autorité israélienne de la nature et des parcs.
Entre 2017 et 2020, une moyenne de 30 kilomètres carrés (11,5 miles carrés) de terres naturelles, boisées et agricoles ont été perdues chaque année au profit du développement, selon le rapport.
source Timesofisrael en anglais
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