Un Amour qui ne finit pas ! une pièce de théâtre soutenue par l’UFE Israël, représentée à Ashdod par Raphaël Kalfon, vice président

Une comédie de André Roussin revisitée et mise en scène par Bernard Bitan avec
Sophie Rachel Attal, David Cohen, Julia Bellaïche, Jean-Claude Komar et Bernard Bitan

Un amour imaginaire
Jean, lassé de ses amours qui s’éteignent, se met en quête de l’amour idéal et imagine un plan pour trouver … Un amour qui ne finit pas !
Pour cela, et de façon passionnelle et compulsive, il décide d’aimer, unilatéralement, une inconnue (Juliette) sans en attendre le moindre retour de sa part: un amour en sens unique donc, juste pour lui et uniquement par correspondance.

Rentrer en amour comme on entre en religion, voilà ce qu’a décidé ce quinquagénaire volubile pourtant marié. Germaine, sa femme est habituée à ses tromperies, ses excentricités et surtout à ses enfantillages.
Sauf que, les choses ne se passent pas comme prévu, et cette lubie de Jean, n’est
pas du tout du goût du mari de Juliette (Roger), ni de sa propre femme (Germaine).
Cette situation va inéluctablement créer quelques complications croustillantes et
pimentées, et poser le problème de cet amour épistolaire même s’il est aussi courtois
que virtuel.

En écrivant cette pièce dans les années 60, jamais André Roussin n’aurait pu
imaginer la modernité de ce sujet à l’ère des réseaux sociaux ou les sentiments puis
la recherche d’amour et d’adrénaline passent par l’écrit.

Revisité par Bernard Bitan, « Un amour qui ne finit pas » est une comédie
«vaudevillesque », à la fois très drôle, mais aussi particulièrement profonde et
émouvante, qui ne laissera pas indifférent tant le sujet est encore et toujours aussi
brulant…
Parce qu’au fait… Est-ce que « Facebooker » c’est tromper ?!?

Critiques des versions précédentes
« Extraordinaire, formidable, délicieux, merveilleux, moderne. De l’élégance,
de l’invention. » France Inter
« Avec Un amour qui ne finit pas, on est du côté d’une comédie très originale
par son argument et son écriture. (…) L’humeur est cristalline et d’une drôlerie
très particulière » Le Figaro
« On rit beaucoup dans cette pièce… » André Roussin magnifie le boulevard.
Les Echos
« Ah, l’épatant quatuor nous réjouissant de dialogues savoureux, grinçants,
cruels, parfois très justes et avant-gardistes sur la relation amoureuse,
s’inscrivant dans une mécanique dramaturgique imparable ! Courez-y ! »
Fous de Théâtre
« Quiproquos, subterfuges, chasser-croiser, bons mots, tout l’attirail de la
comédie se déploie sous la plume d’un André Roussin inspiré. Chaque
spectateur reconnaît forcément cet élan, ce vertige (…) La salle applaudit à
tout rompre. » Le Canard Enchaîné
« Si la pièce électrise tant encore aujourd’hui, c’est parce qu’elle porte un
regard à la fois satirique et caustique sur les travers des couples bourgeois.
Entre rires, pleurs et peurs, tout le monde peut s’y retrouver. » France 3
« Une grande réussite.» Le Figaroscope
« Magnifique, une merveille de drôlerie. » Le Figaro Magazine
« Génialissime. » Le Parisien
« Tout concourt au plaisir du public, qui n’en finit pas d’applaudir. » Le Nouvel
Obs
« Un vertige d’intelligence et de finesse » Europe 1
« Un bijou d’esprit » Le Figaro

L’AUTEUR
André Roussin, surnommé « le boulevardier romantique », fut d’abord journaliste puis comédien avant de monter sa première pièce, avec Micheline Presle, en 1941, « Am Stram Gram ». Il connait le succès avec « La Petite Hutte », puis « Nina », avec Elvire Popesco… Une œuvre abondante, traduite dans le monde entier et jouée par les plus grands comédiens. Une langue raffinée, un propos comique, gai; mais sous figure de comédie, il y a, chez Roussin, une satire plus ou moins indulgente de la bourgeoisie et de la
famille. Il sera élu à l’Académie Française. Il était également président de la
Société des Auteurs.

LE METTEUR EN SCENE
Bernard Bitan sortira primer du Conservatoire National d’Art Dramatique.
Formé par des maîtres tels que Alain Souchère ou encore Suzanne Flon, c’est par le théâtre classique qu’il commence en interprétant des rôles dans les répertoires de Molière, Marivaux, Beaumarchais, Corneille à Paris et dans de nombreux festivals en France, et jouera du Courteline, Prévert, Feydeau, Queneau…

En 1994 il co-écrit, produit et fait la mise en scène du Musical à succès : «Le Sel de le Miel» qui tournera plusieurs années et sera joué plus de 300 fois dans les plus grands théâtres Parisiens et français (Casino de Paris, Gymnase, Olympia…) à l’Opéra de Genève, au Cirque Royal de Bruxelles.
En 1999, Il adapte et met en scène Mégalopolis de Herbert Pagani avec Francis Lalanne, et enchaîne plusieurs productions dont Salt and Honey, la version américaine du Musical Le Sel et le Miel (NYC, Philadelphie, LA) mais aussi la version concert en 2008 à Jérusalem pour être l’un des Spectacles officiels des 60 ans de l’Etat d’Israël mis en scène par Doron Medalie avec le violoniste Didier Lockwood, Dudu Fisher, ou encore le chorégraphe Ido
Tadmor et 120 artistes sur scène. Il produit l’adaptation en français de Avenue Q (meilleur Musical de Broadway) avec Bruno Gaccio à Bobino en 2012.
Plus récemment sur scène en Israël en tant qu’acteur dans « Le Prénom » d’Alexandre de la Patellière et Matthieu Delaporte mis en scène par Elie Chouraqui qui deviendra son acolyte et le mettra également en scène dans « Miroirs » au Théâtre Cameri, une pièce dont il est l’auteur. Il jouera dans le Violon de mon père de Benny Boret au Musée de Tel Aviv au côté de Gilbert Montagné, de l’orchestre symphonique de Jérusalem et de la
virtuose Anne Gravoin.

En 2018, il monte « Meafela le Or Gadol » version Hébreu du Musical « Le Sel et le Miel » au City Hall, met en scène et participe à la pièce de Sophie Rachel Attal : « Maman mets un sweat et calme toi ». Dernièrement, ce sera : « L’Héritage d’Ana » de Annick Perez au côté de Elie Chouraqui, Judith Mergui et Johanne Tolédano.

LES PREMIERES DATES EN ISRAEL

  • Jérusalem le 26 octobre 2021 au Théâtre de Jérusalem (460 places)
  • Ashdod le 2 novembre 2021 au Beth Yad Lebanim (400 places)
  • Netanya le 3 novembre 2021 au Théâtre Heichal Hatarbut (620 places)
  • Tel Aviv le 7 Novembre 2021 au Théâtre Suzanne Dellal (380 places)

LE PRODUCTEUR
Elie Attal est un autodidacte passionné d’art contemporain. Il a travaillé dans le tourisme puis la communication. Il monte en Israël avec sa famille en 2005. Depuis il a déployé différentes activités autour de l’univers de la Culture à Jérusalem puis Tel Aviv.
En 2018, il produit « Maman, mets un sweat et calmetoi ! », un spectacle autobiographique écrit et interprété par son épouse Sophie Rachel.
Ce fut une expérience inoubliable et la rencontre avec Bernard Bitan, un homme vrai et passionné qui la mettra en scène et participera à ce projet.
Une amitié et une vraie complicité et complémentarité s’installe entre les 2 hommes; depuis les projets se multiplient. Il se consacre désormais pleinement à la production
d’évènements et de spectacles culturels en Israël.

©ashdodcafe.com