Trois industriels français insatisfaits des services et conditions de vols proposés par les sociétés privées d’aviation décident de créer leur propre compagnie. Ainsi naît VallJet en 2008 avec l’ambition de rendre ce moyen de transport accessible à un grand nombre d’entrepreneurs avec un engagement : plus de flexibilité, plus de productivité et plus de rapidité. Treize ans plus tard, VallJet est désormais la première compagnie d’aviation d’affaires française.
Trois questions à son Président et fondateur Jean Valli
Comment expliquez-vous ce succès ?
L’aviation d’affaires assure une meilleure distanciation sociale tout en répondant aux besoins de flexibilité des chefs d’entreprises. Elle permet d’éviter des correspondances et ainsi réduire les temps de déplacement. Elle offre aussi la possibilité de voler depuis ou vers des aéroports non ou très peu desservis par des lignes régulières.
Comment avez-vous rendu ce mode de transport accessible ?
Notre stratégie est fondée sur l’exploitation de quatre types d’avions fabriqués en très grand nombre qui nous permet d’améliorer la disponibilité de nos appareils pour nos clients. Consciente des difficultés d’un grand nombre de chefs d’entreprise à se déplacer, VallJet a optimisé ses coûts afin de rendre ce mode de transport plus abordable.
Vous êtes la première compagnie d’aviation d’affaires française ?
Oui, et j’en suis fier. La flotte de VallJet est sous pavillon français. Elle est composée de plus de 30 appareils de 5 à 50 places basés principalement à Paris-Le Bourget, mais aussi à Lyon, Valence, Lille et Nice.
Plus d’information sur www.valljet.com