#ChavouaTov
L’obligation de répondre Amen
Lorsqu’on entend une berakha, qu’on veuille ou non s’en acquitter, on doit répondre amen.
Mais, on ne répond pas Amen après une berakha que l’on a dite soit même sauf à la fin d’une série d’au moins 2 berakhot (exemple : dans la tefila après « yichtaba’h », dans le bircat hamazon après « boné Yerouchalayim », etc. ).
Si on entend une bénédiction au téléphone ou à la radio en direct, on répond amen (même si on ne peut pas s’acquitter). En revanche, on ne répond pas amen lorsque l’on entend une berakha enregistrée ou retransmise.
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