Chélo ‘assani icha
…qui ne m’as pas fait femme.
Cette bénédiction soulève la fameuse question : en effet, à chaque génération, il y a des femmes exceptionnelles, de vraies echet ‘haïl (femmes vertueuses) et à l’inverse combien d’hommes ont « mal tourné« , etc… ! Comment comprendre que les sages aient institué cette berakha ?
Comme les hommes sont concernés par la majorité des mitsvot alors que les femmes sont dispensées des mitsvot liées au temps, ils ont le devoir de remercier Hachem de ne pas les avoir fait « femme » et ainsi d’avoir la possibilité d’accomplir plus de mitsvot.
Les femmes remplaceront cette bénédiction par « Ché’assani kirtsono«
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Lachon Hara Chapitre 8
3/ Il est également interdit de dire du lachone hara sur un enfant en bas âge, si cela risque de lui causer du tort ou de la peine [comme par exemple un orphelin qui grandit dans une maison étrangère ; s’il médit de cet enfant, il se peut qu’ils ne voudront plus l’accueillir, etc.]
Si son intention est constructive, à des fins éducatives, et qu’il est clair à ses yeux que la chose est vraie, c’est permis. Cependant, il devra s’assurer qu’un bénéfice résultera de ses propos et qu’il ne causera pas de tort, comme c’est souvent le cas.
4/ Il est interdit de dire du lachone hara sur un ignorant ; à plus forte raison un sage en Torah et encore plus sur un décisionnaire.
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