#ChabbatChalom
Eloquaï, Néchama…
Si on a déjà prié Cha’harit (c’est à dire la ‘Amida) et qu’on s’aperçoit qu’on a oublié de réciter les bénédictions du matin, on ne pourra plus redire la bénédiction de Eloquaï Néchama car on s’est déjà acquitté de cette bénédiction par celle de « Mé’hayé Hamétim » (« qui ressuscite les morts« ) dans la ‘Amida qui traite du même sujet (résurrection des morts).
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Lachon Hara Chapitre 6
1/ Il est interdit d’accepter et de croire à du lachone hara et la punition de celui qui l’accepte est supérieure à celle de celui qui parle, même s’il ne déclare pas verbalement qu’il accepte les propos.
2/ Même s’il ne croit pas le lachone hara, il lui est interdit de tendre l’oreille pour en écouter, sauf si son intention est constructive, par exemple il a l’intention de monter une affaire avec la personne en question. Et s’il entend que celle-ci n’est pas correcte, il s’en méfiera et ne traitera pas avec elle. Cependant, même dans un tel cas, il est permis seulement d’écouter et de se méfier mais pas de croire.
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Lachon Hara Chapitre 6
3/ Si son ami vient lui raconter du lachone hara, il s’empressera de lui demander si son but est constructif. Si l’ami répond positivement, il pourra écouter les propos et s’en méfier mais il n’aura pas le droit d’y croire.
4/ Il a l’obligation d’écouter du lachone hara si par ce biais, il pourra prouver au locuteur ainsi qu’aux auditeurs que les propos ne sont pas exacts. Ou encore, si grâce à son écoute, il calmera le locuteur qui ainsi, cessera de publier les faits. Cependant, il devra faire attention de simplement prêter oreille mais de ne pas y croire.
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