#ChabbatChalom
En cas d’oubli
Si on a oublié de dire la bénédiction d’Acher Yatsar, on dispose de 72 minutes pour la réciter. Mais si entre temps on a été de nouveau aux toilettes, on ne dira qu’une seule fois la berakha Acher Yatsar.
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Lachon Hara Chapitre 4
7/ Il est permis de dénigrer une personne qui commet régulièrement un péché dont tous connaissent la gravité, que cette personne soit présente ou pas, si les conditions suivantes sont remplies :
- il faut avoir vu la chose de ses propres yeux.
- la personne visée doit être parfaitement consciente qu’il s’agit d’un péché.
- il ne faut pas exagérer les faits.
- il ne faut pas flatter la personne visée en sa présence et la dénigrer en son absence.
S’il s’agit d’une personne qui a totalement rejeté le joug de la Torah, c’est tout le temps permis.
8/ Il est permis de dénigrer une personne qui n’obéit pas à une injonction du tribunal rabbinique sans excuse valable. Si elle a une excuse dont on doute de la véracité, il est interdit de la dénigrer.
Etude pour demain Chabbat à imprimer ou à étudier après Chabbat.
Lachon Hara Chapitre 4
9/ S’il voit chez son prochain des traits de caractère négatifs comme l’orgueil ou la colère, il n’est pas autorisé à le raconter. En effet, bien qu’il soit interdit de se conduire de la sorte, la majorité des gens pensent qu’il s’agit seulement d’une bonne conduite et celui qui les transgresse n’est pas considéré comme un impie.
10/ Cependant, il est permis et c’est même un commandement de parler à ses enfants ou à ses élèves de ces gens qui ont des traits de caractère négatifs ou qui négligent l’étude de la Torah, afin qu’ils s’éloignent d’eux et n’apprennent pas de leurs actions.
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