Chapitre 4
3/ S’il a vu une personne moyenne, qui s’abstient généralement de la plupart des péchés, commettre un péché volontairement, son attitude doit être la suivante. S’il peut la juger favorablement, en disant par exemple qu’elle n’était pas consciente de la gravité de la faute, etc., il doit le faire et il est interdit de publier son péché ou de la détester.
4/ S’il semble que la personne est consciente de la gravité de l’interdiction et la transgresse intentionnellement mais qu’elle fait attention aux autres péchés, il lui est interdit de le publier. Cependant, il doit la réprimander en tête à tête avec douceur. A plus forte raison s’il s’agit d’un sage en Torah : il est interdit d’avoir ne serait-ce que des pensées négatives à son égard car il est certain qu’il a fait téchouva (s’est repenti).
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