Chapitre 3
7/ S’il voit une personne commettre un acte qui peut être interprété dans les deux sens, la règle est la suivante :
- S’il s’agit d’une personne qui craint D., il a le devoir de la juger positivement et ce, même s’il semblerait plus logique de la juger défavorablement.
- Si c’est une personne moyenne et que son acte peut être interprété aussi bien positivement que négativement, c’est une obligation de la juger favorablement et il est interdit de médire d’elle.
Mais s’il est clair qu’elle a commis une faute, il convient de lui accorder le bénéfice du doute.
8/ Même lorsqu’il est autorisé à la considérer coupable, il n’a pas le droit d’en faire part à d’autres, à moins que toutes les conditions expliquées par la suite soient réunies.
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