Le 8 Mars prochain c’est avec Patricia Ouazan, alias Méleha que nous fêterons »la journée internationale de la femme » a Ashdod en Israël.
Ce petit bout de femme ravissante est surprenante. D’ailleurs son parcours atypique l’est tout autant.
Originaire de Lyon en France, elle arpente les scènes très tôt car le chant est pour elle une passion. Son talent et ses rencontres professionnelles lui permettent de faire de la télévision et des premières parties d’artistes très connus.
Mais ce qu’elle ne sait pas c’est que son destin sera lié a la torah. Apres avoir fait tshouva, elle ne peut se résigner a ne plus chanter. Elle fait la rencontre de Sydney Elancry, auteur compositeur de talent. De cette fusion professionnelle naîtra Méléha. Sa particularité : elle ne chante que pour les femmes. Sydney lui propose immédiatement une chanson au titre évocateur »Imma » dont le succès fut instantané et d’autres chansons suivirent comme « Mosheile ». Depuis, elle parcoure la planète entre Paris, Londres, Los Angeles, Vancouver, Sidney ….. où elle transmet a chaque fois un message d’amour, de joie et de Torah. Elle chante en français mais aussi en anglais et en hébreu. Elle est a nos yeux la première chanteuse « juive orthodoxe » contemporaine qui nous donne les frissons des que nous entendons sa voix d’or qui nous réchauffe le cœur.
Sa venue en Israël s’inscrit dans le cadre d’une tournée internationale : Croatie, Autriche, Londres, Montréal, Paris, Marseille ….elle participera également a un séjour de Pessah organisé par Oneg Loisirs. En Israël elle se produira d’abord a Raanana le 6 Mars, une soirée organisée par Mme la Rabbanit Elkrief qui prendra des airs de défilé avec Laurence Levy.
A Ashdod, elle réserve a son public exclusivement féminin de nombreuses surprises dont l’interprétation en exclusivité de nouvelles chansons de son dernier album qui sortira prochainement mais aussi de chansons plus symboliques comme « O’ Rebbe »qui illustre son attachement au Rabbi de Louvavitch qu’elle a eu l’occasion de rencontrer.
« Le Rabbi de Loubavitch disait : la joie brise toutes les barrières…. je l’ai rencontré il y a 25 ans, il m’a donné 2 dollars et la Brah’a pour continuer à chanter, à diffuser Be simh’a à travers le monde afin de réjouir le cœur des femmes le plus humblement possible, c’est ma mission et je continuerai a la mener avec amour et humilité ».