Avak lachon hara’
AlIusions
Il arrive parfois qu’on dise quelque chose de positif sur une autre personne et que telle soit réellement l’intention qu’on a, mais qu’un auditeur puisse en déduire quelque chose de péjoratif et de susceptible de nuire. D’après la Torah, celui qui parle de cette façon n’est pas considéré comme holekh rakhil (colporteur de commérage) car son intention et ses propos sont clairement sincères et positifs.
C’est cependant interdit par ordre rabbinique ; ce genre de propos est considéré comme du avak lachon hara’ (de la poussière de lachon hara’), répandue par négligence.
Une forme courante d’avak Iachon hara’, c’est lorsqu’on fait sincèrement l’éloge de quelqu’un mais qu’on fait en même temps allusion à l’un de ses défauts.
« Qui eût cru qu’il arriverait aussi loin ? » sous entend clairement quelque défaut du personnage en cause. Une remarque de ce genre pourrait le mettre dans l’embarras si on la faisait en sa présence, et peut lui causer du tort même s’il ne l’entend pas. C’est donc interdit.
Ce site est dédié pour l’élévation de l’âme de Orly Rose bat Zarie, de Louïsa bat ‘Hanna et de ‘Haïm ben Mordekhaï.