La ville se trouve au 4ème rang des grandes villes avec un bilan négatif en ce qui concerne la migration de la population, et ce malgré le fait que la population d’Ashdod soit connue pour son patriotisme, plus important que dans d’autres villes d’Israël.
Dans les 5 dernières années (2009 -2014) les résultats de l’intégration de nouveaux résidents sont négatifs d’après le bureau central des statistiques et de la construction.
Les statistiques de migration sont un indicateur important pour toutes les villes. La ville qui se vide malgré ses efforts doit se rendre compte que quelque chose ne va pas. Contrairement à une ville avec une migration négative, les villes qui intègrent des familles nouvelles confortent leurs possibilités d’être attractives pour la grande majorité de la population en Israël et les émigrants potentiels . D’après les statistiques publiées ces derniers temps par le bureau central des statistiques et de la construction parmi toutes les grandes villes et même les villes moyennes en Israël, Ashdod est la ville ou le plus grand nombre d’habitants partent (après Carmiel -Nazareth Elit et Bne Brak) .
Statistiques importantes car Ashdod a un bilan négatif chaque année depuis 2009 jusqu’en 2014. Des années 1990 jusqu’au milieu de l’année 2000, Ashdod a été la ville avec un bilan positif parmi toutes les villes en Israël. Le ressenti de ces résultats est douloureux car la population d’Ashdod est connue pour son patriotisme beaucoup plus que d’autres villes .
L’expression ASHDODI et VOLONTE sont des concepts que l’on ne trouve pas ailleurs en dehors de Rishon -Holon – Kfar Saba et d’autres et malgré les efforts de construction dans la ville, les départs de la ville augmentent en raison de la cherté des appartements (vente ou location) et la difficulté a trouver un emploi digne de ce nom. Les gens se sentent abandonnes .
Cette situation doit sauter aux yeux des responsables de la ville. Il ne s’agit pas d’un phénomène ponctuel mais d’un phénomène permanent qui dure depuis 2009 et continue a etre ressenti jusqu’au moment de l’écriture de ces lignes . Il est temps que les dirigeants d’Ashdod fassent leur introspection et érigent un programme immédiat ayant pour but de garder les jeunes qui sont nés et habitent dans cette ville près de leur famille qui les aiment. Ils ne quittent pas la ville de leur plein gré, mais par manque de possibilité de trouver du travail, de fonder un foyer puis une famille.
L’expression ASHDODI et VOLONTE sont des concepts que l’on ne trouve pas ailleurs en dehors de Rishon -Holon – Kfar Saba et d’autres et malgré les efforts de construction dans la ville, les départs de la ville augmentent en raison de la cherté des appartements (vente ou location) et la difficulté a trouver un emploi digne de ce nom. Les gens se sentent abandonnes .
Cette situation doit sauter aux yeux des responsables de la ville. Il ne s’agit pas d’un phénomène ponctuel mais d’un phénomène permanent qui dure depuis 2009 et continue a etre ressenti jusqu’au moment de l’écriture de ces lignes . Il est temps que les dirigeants d’Ashdod fassent leur introspection et érigent un programme immédiat ayant pour but de garder les jeunes qui sont nés et habitent dans cette ville près de leur famille qui les aiment. Ils ne quittent pas la ville de leur plein gré, mais par manque de possibilité de trouver du travail, de fonder un foyer puis une famille.
Un enfant de la ville à des droits moraux et il peut exiger de la part des élus locaux « TRAVAIL ET TOIT ». Et c’est ce que ces institutions doivent faire pour garder leurs habitants avec leurs enfants présents et à venir.
Sources : ashdodnet.com
traduction ashdodcafe.com