|
#Chabbat Chalom
Dire une berakha inutile équivaut à prononcer le nom de D. en vain. Il est donc défendu d’y répondre Amen.
Pour les séfaradim, l’interdiction de dire une berakha en vain émane de la Torah. C’est pourquoi, nous sommes plus stricts et en cas de doute lors d’une récitation d’une bénédiction, on préférera s’abstenir de répondre.
Pour consulter le dossier complet et les sources : La Quoti Halakhique
Cette halakha est dédiée pour la guérison complète et totale de Ma’ayane bat Yael ainsi que pour l’élévation de l’âme de Louïsa bat ‘Hanna et de ‘Haïm ben Mordekhaï.