|
Lorsqu’on entend une berakha, qu’on veuille ou non s’en acquitter, on doit répondre amen.
Mais, on ne répond pas Amen après une berakha que l’on a dite soit même sauf à la fin d’une série d’au moins 2 berakhot (exemple : dans la tefila après » yichtaba’h, dans le bircat hamazon après » boné Yerouchalayim, etc. ).
Si on entend une bénédiction au téléphone ou à la radio en direct, on répond amen (même si on ne peut pas s’acquitter). En revanche, on ne répond pas amen lorsque l’on entend une berakha enregistrée ou retransmise.
Pour consulter le dossier complet et les sources : La Quoti Halakhique
Cette halakha est dédiée pour la guérison complète et totale de Ma’ayane bat Yael ainsi que pour l’élévation de l’âme de Louïsa bat ‘Hanna et de ‘Haïm ben Mordekhaï.