Bonne fête de Lag Ba’omer.
Le cas d’un sourd ou d’un muet
Un sourd qui peut parler ou un muet qui peut entendre sont soumis aux mêmes règles qu’un homme normal et peuvent être associés à un minyane de 10 hommes.
Le cas d’un sourd-muet
En revanche, un sourd-muet est considéré comme une personne » privée de raison ou comme un » enfant qu’on ne pourrait compter dans un minyane. Mais de nos jours, il existe des institutions spécialisées d’où les sourds-muets sortent presque normaux et capables de parler, si ce n’est qu’ils ne peuvent parfaitement articuler les mots. On peut donc les associer à un miniane pour le kaddich, la kedoucha, barekhou, etc.
Mais on ne fera pas la répétition de la ‘amida s’il n’y a pas minyane sans eux, dans ce cas, l’officiant dira à voix haute la ‘amida avec la kedoucha en meme temps que la communauté. On ne fera pas non plus la lecture de la Torah avec les bénédictions.
Pour consulter le dossier complet et les sources : La Quoti Halakhique
Cette halakha est dédiée pour la guérison complète et totale de Ma’ayane bat Yael ainsi que pour l’élévation de l’âme de Louïsa bat ‘Hanna et de ‘Haïm ben Mordekhaï.