Chacun se doute bien que si les dirigeants européens s’étaient contentés de rester des médiateurs intègres et non des entremetteurs intéressés, le conflit israélo-arabe se serait éteint de lui-même. Les pays arabes ont su jouer intelligemment de la haine contre les Juifs qui sévit en ce continent depuis des siècles.
Le narratif mensonger d’un « peuple palestinien » est donc une mystification qui, par ses répétitions incessantes, est devenue une réalité.
De nos jours, Barak Obama dit envisager réévaluer le soutien des USA envers l’Etat d’Israël, notamment à l’Onu lors d’une énième résolution sur le conflit, au prétexte ténu que Benjamin Netanyahou s’est dit, pendant la campagne électorale, ‘’contre toutes cessions de terre qui facilitera les actions terroristes des islamistes radicaux contre les Israéliens’’.
La bande de Gaza étant le parfait exemple ! Le Liban sud le deuxième.
Le prix Nobel de la paix 2009 a donc décidé d’envenimer un peu plus le conflit avant son départ sans retour de la Maison blanche. Reste au Premier ministre réélu le devoir de s’adresser, au plus tôt, à l’opinion américaine tel qu’il l’a fait lors de son discours au congrès afin de la conserver intacte.
Un discours qui a eu du succès dans l’opinion us et qui a rappelé, entre autres choses, quelques principes élémentaires :
« Avant la levée des restrictions, le monde doit exiger trois choses de l’Iran : Premièrement l’arrêt de son agression contre ses voisins du Moyen-Orient. Deuxièmement cesser de soutenir le terrorisme dans le monde entier. Et troisièmement cesser de menacer d’anéantir mon pays, Israël le seul et unique État juif »
Des demandes de bon sens partagées par nombres de pays voisins de l’Etat d’Israël et qui n’ont toujours pas été ingurgitées par Barak Obama.
Des exigences facilement transposables au conflit du Proche-Orient afin de permettre la création de la « Palestine » :
– Que les ‘’Palestiniens’’ cessent définitivement leur agression militaire et diplomatique contre leur voisins juifs.
– Que les ‘’Palestiniens’’ reconnaissent le droit du peuple juif à leur état sur la terre de leurs ancêtres.
– Que les ‘’Palestiniens’’ acceptent que leur futur état soit totalement démilitarisé.
– Que leurs frontières internationales soient sous la garde de l’Etat d’Israël pour quelques bonnes décennies.
– Que les ‘’Palestiniens’’ renoncent définitivement au ‘’droit de retour’’ des descendants des « réfugiés » au sein de l’Etat du peuple juif.
C’est par ces revendications de bases et de bon sens qu’une Paix digne de ce nom s’imposera enfin dans cette région. Aucune nouvelle résolution onusienne, quand bien même du Conseil de Sécurité, traçant abusivement des frontières ne résoudra le conflit.
Celle-ci restera lettre morte comme le sont les résolutions 242 et 338 et ne fera que compliquer le dénouement tout en amplifiant l’antisémitisme à travers la planète. ‘’Succès’’ de politique étrangère que pas même le Président Barak Obama n’osera revendiquer dans ses biographies futures !
C’est par une telle explication que Benjamin Netanyahou conservera l’amitié de l’opinion us envers l’Etat d’Israël. C’est seulement ainsi que Barak Obama sera neutralisé quant à ses autres projets néfastes de politiques étrangères.
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