Dans la nuit du 25 avril 2014, dans le village Palestinien de Beitin près de Ramallah, un bébé palestinien âgé d’un mois a commencé à s’étouffer chez lui. La mère a emmené le nourrisson jusqu’à un point de contrôle de Tsahal où un docteur lui a sauvé la vie.
La nuit dernière, une tragédie a été évité pour une famille palestinienne du village de Beitin. Leur fille cadette, un bébé d’un mois, a commencé à s’étouffer tandis qu’elle jouait avec sa sœur. La mère, prise de panique, a immédiatement couru vers un point de contrôle de Tsahal pour demander de l’aide. L’officier de Tsahal présent sur place a reçu la mère qui tenait l’enfant des les bras et à fait venir le médecin de Tsahal le plus proche. En quelques instants le Sous-Lieutenant Ben Tzanani et son équipe médicale sont arrivés sur place et ont sauvé la vie du bébé.
“J’ai reçu un appel à propos d’un bébé s’étouffant, j’ai donc directement appelé mon équipe et mon commandant m’a emmené sur place” raconte le Sous-Lieutenant Tzanani. “Nous sommes les premiers à être arrivés sur place. La famille nous a confié le bébé et dans notre ambulance nous avons commencé à vérifier ses signes vitaux“.
“Je pense que ça a prit 5 à 7 minutes entre le moment ou l’officier a repéré la mère et notre arrivée” raconte le Sous-Lieutenant Tzanani. “Plus tard, le médecin de la brigade et le Croissant rouge palestinien sont arrivés pour poursuivre l’examen. Le bébé se remettant peu à peu et n’ayant pas besoin de soins plus poussés que seul un hôpital israélien peut fournir, nous l’avons confié à l’ambulance du Croissant-Rouge, qui l’a amené dans un hôpital de Ramallah “.
Après cet événement le quartier général de Tsahal a reçu de nombreux appels des villageois de Beitin qui voulaient exprimer leur gratitude. “Dans Tsahal la santé est un domaine qui dépasse toutes les différences d’origine ou de religion. Que ce soit un bébé de 1 mois ou des personnes en danger après un accident sur les routes de Judée-Samarie, les soldats de Tsahal sont souvent les premiers à agir pour sauver des vies qu’elles soient israéliennes ou palestiniennes. Dans mon service, c’était la première fois que je sauvais un bébé” conclut le Sous-Lieutenant Tzanani.
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