Cette année encore, internet a été au cœur des évolutions qui ont fait bouger les sociétés dans le monde. Aucune entité ne peut se passer de cet outil puissant qui permet de s’exprimer en toute indépendance. Tsahal l’a compris depuis longtemps et a intensifié sa présence sur les réseaux en 2013 avec des objectifs clairs : vous offrir l’info au plus près des soldats et vous permettre de la recevoir sans le filtre des médias.
1. Publier les infos de l’armée en direct
Les violences contre les citoyens israéliens et les soldats de Tsahal sont réguliers et parfois tragiques. Lorsqu’un soldat de Tsahal trouve la mort dans un attentat terroriste, il est du devoir de l’armée israélienne de respecter sa mémoire et de faire part au plus vite de la tragédie dans tout le pays.
L’assassinat du soldat Eden Atias est malheureusement un exemple récent qui a ébranlé le pays. Poignardé par un terroriste le 13 novembre dernier, il a succombé à ses blessures tandis qu’il était transporté à l’hôpital.
Pour cet évènement comme pour les autres, les publications de Tsahal ont pour but de vous faire vivre les événements en direct grâce à des sources présentes sur le terrain. Live Tweet, articles sur le site internet ou encore publications sur Facebook, toutes les plateformes de Tsahal sont au service de l’info.
Comme cela s’est déroulé a plusieurs reprises cette année, le 26 décembre dernier, des roquettes ont été tirées sur Israël depuis la bande de Gaza.
2. Combattre la désinformation
La force des réseaux sociaux réside dans l’indépendance qu’il confère à ses utilisateurs. En s’adressant directement au public francophone, Tsahal contourne les médias traditionnels qui ont leurs priorités, leurs analyses des événements et leurs vocabulaires pour les décrire.
Il arrive souvent que des manifestations soient orchestrées par des militants palestiniens afin de recueillir des images mettant en scène des soldats de Tsahal et déformant la réalité. Cette année, une polémique a éclaté lorsque certains médias ont repris une photo d’une diplomate française, Marion Castaing, allongée au sol entourée de soldats de Tsahal en Judée-Samarie. Les titres de la presse dénonçaient des violences contre la diplomate jusqu’à ce que Tsahal publie sur ses plateformes en ligne un article ainsi qu’une vidéo démontrant que la diplomate française avait en réalité usée de gestes violents contre les forces de sécurité israéliennes.
Pour revivre la polémique médiatique de l’année ► cliquez ici
Vous entendez souvent ces préjugés a propos de la bande de Gaza : “Prison à ciel ouvert”, “Passage hermétique” ou encore “Population civile asphyxiée”. Comment réagir face aux clichés sur Gaza ? Cliquez ici.
Enfin, il n’y a pas que les violences qui rythment le quotidien entre Israël et les palestiniens en Judée-Samarie. Même à Hébron, ville cristalisant de nombreuses tensions, les coordinations existent pour assurer la liberté de culte de toutes les populations par exemple. ► Cliquez ici.
3. Présenter les menaces auxquelles fait face Israël
Être actif sur les réseaux sociaux impose de devoir se renouveler en permanence. Le message à faire passer et tout aussi important que la manière de l’énoncer.
En 2013, Tsahal a publié sa première BD virtuelle afin de traiter de la menace que fait peser le Hamas sur Israël et sur sa propre population à Gaza. Les réactions ont été fortes ce qui a permit à ce projet d’être repris jusque sur les sites d’informations en arabe comme Al Jazeera. Cette nouvelle manière de communiquer a ainsi été un franc succès que vous pouvez retrouver en cliquant ici.
D’autres supports sont venus illustrer les menaces auxquelles font face les soldats de Tsahal et l’Etat d’Israël. Les caricatures, très utilisées dans la presse internationale et la mise en place de pages interactives ont été au cœur des contenus publiés sur le site de Tsahal afin de présenter des situations complexes en quelques traits de crayons ou rapport complet en ligne.
4. Faire découvrir les parcours personnels des soldats de Tsahal
L’armée israélienne est composée d’hommes et de femmes dont les parcours différents reflètent sa diversité. Pour sortir de l’image restrictive du soldat, dans son uniforme kaki, l’arme en bandoulière, le devoir de Tsahal est également de présenter les visages de ces jeunes israéliens venant de tous les horizons pour défendre jour après jour l’Etat d’Israël.
En 2013, grâce au site internet de Tsahal, vous avez pu faire connaissance entre autre des frères Atrash, arabes musulmans de Galilée, volontaires pour défendre leur pays en s’enrôlant dans l’armée israélienne. Leur présence dans l’armée ne fait pas la une des médias internationaux mais au cotés des autres citoyens israéliens de leur âge ils assurent la sécurité d’Israël. Pour rencontrer les frères musulmans de l’armée israélienne ► cliquez ici
5. Mettre en avant les valeurs de l’armée israélienne
Les valeurs qui fondent Tsahal sont universelles et dépassent les seuls frontières d’Israël. Lorsqu’un événement tragique survient dans le monde, Tsahal est toujours en première ligne pour proposer son aide aux populations en détresse.
Cette année, le typhon Haiyan a lourdement frappé les Philippines, provocant une grave crise humanitaire pour la population locale. Une délégation de Tsahal s’est immédiatement envolée pour leur apporter son aide et son savoir faire en construisant un hôpital de campagne pour soigner les victimes du typhon. Grâce à un dispositif important, vous avez pu suivre en direct les différentes étapes de cette mission humanitaire hors du commun à travers des tweets, des publications Facebook et un fils info en continu sur le site de Tsahal
Plus proche d’Israël, la relation avec les palestiniens est souvent retranscrite par les médias en traitant ce sujet sous l’angle des violences. Où sont les images de soldats aidant une ambulance du croissant rouge palestinien coincée dans la neige ? Ou pouvez vous lire que Tsahal a permit le transfert en urgence d’essence et de gaz d’’Israël vers gaza via le point de passage de Kerem Shalom lors des dernières intempéries dans la région?