miss france 2014Quelques minutes après avoir gagné la couronne de Miss France 2014, la belle Flora Coquerel, désormais ex-Miss Orléanais, nous livre ses premières impressions à chaud…

Flora Coquerel, qu’avez-vous ressenti au moment précis où l’on vous annonce que vous avez gagné?

Honnêtement? Rien! Le vide total. Je ne pensais tellement pas entendre «Orléanais» sortir que cela m’a bouleversé. Miss Tahiti avait tellement de soutien.

Et là, un peu plus d’une heure après, réalisez-vous?

Je pense qu’il me faudra quelques journées ne seront pas de trop pour réaliser ; mais, petit à petit, je vais devoir m’y faire.

Qu’est-ce qui selon vous à fait la différence?

C’est difficile à dire vu d’où j’étais… Disons que je me suis vraiment amusée sur le prime time. J’étais un peu stressée avant, mais durant l’élection j’ai profité de l’instant présent. Je savais que ce serait une journée que je ne revivrais pas deux fois dans ma vie ; donc j’ai donné le meilleur de moi-même pour ne rien regretter. Finalement, j’étais assez sereine lorsqu’il a fallu enchaîner les chorégraphies. Ce fut comme à l’entraînement et du coup je n’ai pas vu les heures de la soirée passer.

Comment ont réagi les 32 autres prétendantes?

Elles étaient toutes très émues, heureuses pour moi. Je leur en suis reconnaissante. Au départ, elles étaient des concurrentes et ces semaines passées ensembles et ce prime en font de vraies amies.

Et maintenant, que redoutez-vous le plus?

La journée de demain (ce dimanche, NDLR) qui est un total mystère pour moi. Je sais que cela va être un marathon du matin au soir. Donc là, je me pose quelques questions sur la suite, sur ce que me réservent les journalistes. J’attends de voir comment je vais gérer la médiatisation. Déjà croiser quelques instants mes parents après l’élection m’a fait du bien.

Que va mettre en avant Miss France 2014?

J’espère faire ressortir ma vraie personnalité ; le fait que je sois une fille simple et humble ; une fille ui sait prendre les chose telles qu’elles viennent.

Propos recueillis par Patrice Gascoin

lefigaro.fr

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