Depuis le début de la crise actuelle entre Israël et le Hamas, les diverses organisations palestiniennes ont lancé leur habituelle guerre d’images et publient chaque jour de nouvelles photos d’enfants blessés et ensanglantés avec cette impudeur coutumière qu’ils maîtrisent si bien.
La falsification d’images et l’usage de faux est une autre de leurs spécialités et il est ainsi très vite apparu aux plus observateurs et aux plus soupçonneux que les photos publiées ces jours-ci étaient en réalité des photos d’enfants syriens, blessés au cours de la guerre civile qui fait rage depuis des mois et qui mérite, elle, le qualificatif de « massacre ». Le Hamas et les organisations palestiniennes utilisent donc ces photos en prétendant qu’il s’agit d’enfants palestiniens visés volontairement par les israéliens à Gaza.
A titre d’exemple, l’organisation International Solidariy Movement de Gaza publie des photos d’enfants ensanglantés et mentionne en légende qu’ils sont actuellement hospitalisés à Gaza.
Ces images mensongères sont ensuite envoyées à différentes organisations à travers le monde toutes disposées à diffuser sans vérification préalable ces images sensationnelles et trompeuses, afin de choquer et surtout de manipuler l’opinion publique internationale. Cela s’illustre parfaitement sur le site oumma.com qui titre sans complexe : « Gaza: ces images censurées par les médias »
l s’agit en réalité d’enfants syriens blessés par l’armée d’Assad qui tue et massacre sans trêve dans la relative indifférence de cette même opinion publique. L’ironie flagrante de ce deux-poids-deux-mesures et de cette instrumentalisation éhontée ferait presque sourire s’il ne s’agissait pas de vies humaines.
La petite « Amal 11 à l’hôpital de Gaza » dont les souffrances sont exploitées et détournées est en fait une petite fille syrienne blessée près de Homs en Syrie comme le prouve cette photo de l’AFP prise en juillet 2012…
De même, le petit garçon « symbole de la force et du courage des Gazaouis » est un enfant syrien blessé en septembre 2012 comme le prouvent ces témoignages
De même, le petit garçon « symbole de la force et du courage des Gazaouis » est un enfant syrien blessé en septembre 2012 comme le prouvent ces témoignages
Qu’il y ait des blessés civils à Gaza est une réalité à laquelle aucune crise ou guerre ne peut malheureusement échapper en dépit des efforts de l’armée israélienne pour les éviter. Mais utiliser les photos d’un autre conflit, utiliser des images d’enfants en souffrance à des fins de communication et pour gagner une guerre médiatique sont des méthodes qu’aucune organisation, aucun média aucun individu ne devrait cautionner et encore moins relayer. Un enfant blessé dans une guerre est un drame pas un produit de marketing.
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